André Malraux

Indignation gaulliste

4 juillet 2017 // 9 commentaires

Je ne suis rien… Je ne suis rien… Je ne suis rien… Je ne suis rien…  Une phrase choisie par Emmanuel Macron lors de l’inauguration jeudi de [...]

Malraux et l’Islam – 1956

17 juillet 2016 // 13 commentaires

Après l’attentat à Nice, il est impératif de livrer une réflexion profonde sur le rapport de la France avec l‘Islam. C’est aussi le cas de [...]

Jean Moulin (1899-1943)

26 août 2014 // 0 commentaire

« Pauvre roi supplicié des ombres, regarde ton peuple d’ombres se lever dans la nuit de juin constellée de tortures. » André Malraux Naissance : 20 juin 1899 à [...]

Rappelons-nous Pierre MESSMER (1916 – 2007)

24 août 2011 // 4 commentaires

Il y a 4 ans, Pierre Messmer nous quittait. Rendons-lui hommage car c’était un grand homme, militaire exemplaire, homme politique de premier niveau, compagnon du général de Gaulle. Il nous manque… Docteur en droit, diplômé de l'École nationale des langues orientales vivantes, il entre à l'école d'administration des colonies en 1938. En 1940, il rejoint les forces de la France libre. Il participe aux campagnes d'Afrique, de France et d'Allemagne, il est fait prisonnier en Indochine. Nommé à de nombreux postes de gouverneur dans les territoires des colonies (Mauritanie, Côte d'Ivoire notamment), il prend une place de plus en plus importante dans la politique métropolitaine. [...]

L’éloquence de Charles de Gaulle et André Malraux…

9 mars 2010 // 0 commentaire

Le politique et l’épique sont ordinairement voués à s’opposer, parce qu’ils renvoient à deux conceptions radicalement différentes de la destinée humaine. En politique, l’efficacité est avant tout recherchée : le destin de la Cité repose entre les mains des décideurs, qui possèdent le pouvoir et en usent pour façonner l’Histoire en fonction de leurs vœux. Parce qu’elle s’attache à la réalité concrète (celle de l’Etat), la politique est science de la matière ; Charles de Gaulle le proclame lors d’une conférence de presse : « Il n’y a pas de politique qui vaille en-dehors des réalités », puis quelques années plus tard dans une allocution : « La politique n’est rien d’autre que l’art des réalités ». [...]