Dupont-Aignan

Ce n’est pas une victoire du PS, mais une lourde défaite de l’UMP sarkozyste.

22 mars 2010 // 0 commentaire

Avec des écarts encore jamais atteints entre la majorité présidentielle et les oppositions (PS et satellites d'une part et Front National d'autre part) la question essentielle que chacun doit se poser est : "existe-t-il encore une majorité pour suivre le Président ?" Si l'on ne prend en compte que l'aspect purement constitutionnel, la réponse est oui. Les 315 députés UMP sur les 577 que compte l'Assemblée Nationale sont en place. La vague bleue de 2007 n'est pas, ou si peu, entamée. Néanmoins, quelques députés parmi les nombreux mécontents pourraient quitter le parti Sarkozyste pour constituer un groupe réellement indépendant ancré autour des valeurs gaullistes, républicaines et sociales sans mettre en péril le groupe de Jean-François Copé. [...]

Le second tour ne servira qu’à distribuer les places

16 mars 2010 // 0 commentaire

Les titres des différents médias synthétisent les résultats des élections régionales. "Les Français sanctionnent le majorité" , "Un revers pour l'UMP", "Le PS précède l'UMP", "Europe Ecologie, 3ème force politique", "Le FN revient, le Modem s'effondre"... Mais aussi, "un seul parti gagnant, celui de l'abstention". De ce scrutin, il est possible de tirer quelques constatations partagées par une majorité des Français. - La majorité présidentielle n'est plus majoritaire. à vouloir tout mélanger, à transformer dans les actes et dans le comportement une élection régionale en test national, Nicolas Sarkozy a mis en péril sa majorité et sa fonction. [...]

Pour la création d’un label “NON-MINC”

27 février 2010 // 0 commentaire

Au détour d’une biographie consacrée par le journaliste Daniel Bernard à Ségolène Royal, on apprend que la Présidente de la région Poitou-Charentes accuse sa rivale Martine Aubry de consulter le même conseiller que Nicolas Sarkozy, Alain Minc. C’est vrai, Ségolène Royal ne nous apprend pas grand chose si on suit l’itinéraire de la Première secrétaire du Parti Socialiste. Elle aurait pu aussi nous rappeler que cette dernière était aussi, pendant une quinzaine d’années, celle que le CNPF1 considérait comme un relais efficace à l’intérieur du PS. Mais elle a au moins le mérite de le faire savoir à la France entière, grâce à sa notoriété. Qu’elle en soit donc remerciée. Alain Minc, on ne l’ignore pas non plus, sévit aussi à l’Elysée où le Président arbitre la plupart du temps en faveur de ses conseils plutôt que de suivre la pente républicaine incarnée par Henri Guaino, lequel a tout de même l’utilité de lui servir des discours ô combien plus populaires. Et pour cause, ils disent absolument l’inverse de ce que pense et conseille Minc. [...]

Pour le « droit au crédit opposable »

17 février 2010 // 0 commentaire

  Contre le « racket bancaire », Dupont-Aignan propose « le droit au crédit » Le président de Debout la République Nicolas Dupont-Aignan a demandé lundi, lors [...]

Nicolas Dupont-Aignan en campagne

10 février 2010 // 0 commentaire

Le Journal de CAMPAGNE des Régionales Ile-de-France     Lors des élections européennes de 2009, le Journal de Campagne vous tenait informé chaque semaine de [...]

Libéralisation de l’électricité

26 janvier 2010 // 0 commentaire

 spoliation du patrimoine national ! Par Nicolas Dupont-Aignan Les habitués de ce blog (http://blog.nicolasdupontaignan.fr) n’ignorent pas que j’ai toujours combattu [...]

Construction automobile : Sarkozy se couche devant Bruxelles

16 janvier 2010 // 0 commentaire

Face à l’intention de Renault de délocaliser en Turquie la fabrication de la Clio IV, décision scandaleuse à plus d’un titre, nos gouvernants ont semblé un moment adopter la bonne attitude : Christian Estrosi a convoqué le n°2 du groupe et Nicolas Sarkozy, à juste raison, s’est empressé de déclarer qu’un constructeur automobile français ne pouvait pas recevoir de subvention de la collectivité pour tout juste après réduire ses capacités de production en France et faire fabriquer à l’étranger des véhicules destinés au marché domestique. Tout semblait donc en place pour que l’Etat ne laisse pas se produire cette décision ubuesque, ... [...]

P. Seguin : un adieu douloureux.

12 janvier 2010 // 0 commentaire

Beaucoup d'émotion ce jeudi matin. Philippe Seguin nous a quitté à 66 ans. Cette émotion, partagée par tous les gaullistes n'est pas un "hommage convenu" comme les médias nous en abreuvent depuis l'annonce de sa disparition. Pour ma part, j'espérais un retour en "politique" de cet homme franc, massif, qui imposait le respect. Avec d'autres, il aurait pu, une nouvelle fois, servir la France et la République, ses deux passions, comme tout gaulliste digne de ce nom. « L'Europe que l'on nous propose n'est ni juste, ni libre, ni efficace. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution : 1992 est littéralement l'anti 1789 » [...]
1 5 6 7 8 9 10