Comme je l'écrivais dans un éditorial du 6 mai 2008 (titre de l'Edito : Ce n’est pas la VIe République, c’est le retour à la IVe) consacré à la réforme de notre constitution, l’une des mesures proposée, mesure totalement sous -médiatisée et approuvée en catimini par les partis politiques UMP et PS, a retenu toute mon attention : les membres du gouvernement ne seront plus soumis à réélection pour retrouver leur siège au parlement en cas de départ, volontaire ou forcé, de leur fonction ministérielle.
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