L’état de grâce du lendemain de second tour semble déjà envolé : cascade de plans sociaux annoncée, effondrement de la Grèce, menaces sur l’Espagne et l’Italie, bras de fer sans issue entre la France et l'Allemagne,... Inexorablement, la marée des difficultés économiques, financières et sociales monte, prête à emporter les châteaux de sable dérisoires des uns et des autres.
Mais cela n'empêche pas le nouveau Premier ministre de recevoir aujourd’hui les partenaires sociaux à Matignon pour partager ce que la France n’a plus.
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