Michel Debré

À Michel Debré à propos de la Défense

9 mars 2011 // 0 commentaire

    21 avril 1959   1. Le moment est venu de procéder à l’organisation du gouvernement et du commandement en vue de la Défense et compte tenu de notre [...]

Extrait des mémoires de Michel Debré*

22 décembre 2010 // 1 commentaire

    Ne pas nourrir pour la France une grande ambition industrielle, c’est accepter son déclin. L’industrie est la clé de l’emploi et du pouvoir [...]

Jacques Chaban-Delmas : « Il vécut l’armistice comme la fin du monde »

11 août 2010 // 1 commentaire

Appelé en juin 1938, il intègre le bataillon des élèves officiers de réserve puis choisit Saint-Cyr parce qu’il donne priorité à sa vie de famille. Marié en avril 1939, il est sous-lieutenant au 7e bataillon alpin de forteresse, à Peira-Cava, près de Nice, durant toute la campagne de France ; sa femme, qui a pu s’installer à proximité, donne naissance à leur premier enfant. Il vit la nouvelle de l’armistice comme une fin du monde et fonde ses espoirs sur la Grande-Bretagne. Le spectacle de Paris occupé lui est insupportable. Il manifeste une volonté de revanche qu’il libère en rejoignant le groupe du colonel Groussard, son ancien instructeur à Saint-Cyr. Par ce dernier, il est mis en contact avec le colonel Heurteaux, chef du réseau Hector. Spécialisé dans le renseignement sur l’industrie, il intègre le ministère de la Production industrielle pour mieux renseigner. Fin 1941, il entre à l’inspection des finances. Fin 1942, il informe le BCRA à Londres du démantèlement du réseau Hector et adopte alors le pseudonyme de Chaban, nom d’un château près de Moustier, en Dordogne. Chargé de remédier au besoin de financement de la Résistance, il participe à la mise sur pied, en 1943, du Cofi, avec Pierre de Bénouville, François Bloch-Lainé et Michel Debré, et devient le conseiller financier du délégué militaire national. [...]

La Cinquième République, notre meilleur atout pour réformer le capitalisme

29 juillet 2010 // 0 commentaire

Dimanche, un membre du bureau national du Parti Socialiste, Philippe Baumel, a plaidé pour l’instauration d’une Sixième République, seule solution, selon lui, à la crise que nous traversons. Et si, au contraire, cette Constitution était notre meilleur atout pour l’avenir ? Un problème de pratique, pas de Constitution. Philippe Baumel n’y va pas par quatre chemins : pour lui, « la Ve République n’en finit plus de finir de la réduction du destin de la nation à une collection d’itinéraires individuels. L’étalage des ambitions individuelles égotistes, le flirt avec l’argent, l’appétit de notoriété, la passion pour le faire savoir et le mépris pour les savoir faire, l’étalage des signes extérieurs de réussite donnent à la fin de la Ve République un coté tragi-comique qui rappelle les derniers jours de Concini à la Cour de France ». [...]

1952 – 2005

20 août 2009 // 0 commentaire

… troublantes similitudes. Mai 2005 :  les Françaises et les Français ont infligé une défaite cinglante au pouvoir UMPS et à Jacques Chirac totalement investi, eu [...]
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