Le beurre et l’argent du beurre…
The Economist, le journal de l’élite anglophone mondiale, fait campagne dans son numéro daté du 15 juin 2019 pour que l’anglais devienne la seule langue officielle de l’Europe après le Brexit. Le principal argument est que ce serait une langue neutre permettant de mieux travailler.
En fait cela cache soit une ignorance de l’Europe, soit un mépris pour les cultures des autres pays, soit un cheval de Troie pour détruire une Europe devenue étrangère et donc concurrente… Ou tout simplement l’habitude britannique de demander le beurre et l’argent du beurre !
…A vos commentaires !
Yves Montenay
Les gens ne voient pas que c’est l’Angleterre qui met le bazar partout dans le monde? Le problème c’est pas l’UE le problème c’est la City de Londres et Wall-Street. Le jour où les gens auront clairement identifié les Anglais comme étant des ennemis farouches des démocraties républicaines on aura fait un grand pas en avant. Les gens gobent leur propagande et pensent que les Anglais ont toujours toutes les solutions alors qu’à la base c’est eux qui provoquent les problèmes. Ce sont des pompiers-pyromanes, et plus pyromanes que pompiers. Les tabloïds Anglais sont les plus abjectes qui soient. Ils distillent leur venin en permanence. La propagande Anglaise est sournoise. Ils noyautent les médias du monde entier. Leur finance est la base même de la corruption dans le monde. Les gens croient qu’en dehors de l’UE et de l’Euro tout va bien dans le meilleur des mondes. C’est l’effet de la propagande anti-UE de l’Angleterre et des USA. Pourquoi personne ne s’élève contre le scandale des « paradis fiscaux » du Commonwealth Britannique? Ce sont des milliers de milliards d’évasion fiscale qui partent dans ces endroits tous sous contrôle britannique. Les soi-disant Panama-Leaks sont juste une diversion car le plus gros de la corruption financière et de l’évasion fiscale passe par la City et atterri dans des territoires du Commonwealth. LE soi-disant consortium de journalistes était carrément noyauté par Londres pour s’assurer que la presse mondiale se cantonnerait au Panama et n’irait pas mettre son nez dans le bousin britannique. De Gaulle de toutes façons détestait les anglo-saxons et réciproquement. Les gens qui font constamment l’éloge des britanniques, qu’ils soient de gauche ou de droite sont dans l’erreur totale et victimes de leur propagande perfide. Pourquoi les gens pensent que l’UE est un problème et ne voient pas les méfaits de la City et de Wall-Street en premier lieu? C’est bien l’effet d’un lavage de cerveaux. Qui pour dénoncer les paradis fiscaux Anglais? Qui pour dénoncer la spéculation financière et la rapacité de LA City et de Wall-Street. Comme si les autres nations hors UE n’avaient pas les mêmes problèmes, et même pire encore avec l’inflation et la dévaluation de leurs monnaies? Il ne faut surtout pas tromper de combat! Soyez courageux! La monarchie et l’aristocratie Anglaise! « Pour savoir qui vous dirige vraiment, il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer ». L’UE est largement critiquée dans les médias, mais la City de Londres vous entendez des critiques à gauche ou à droite? Qui nous domine vraiment? L’UE ou la City et Wall-Street? Réfléchissez bien à la question et ne jetez pas le bébé européen avec l’eau du bain. La France y aurait bien plus à perdre qu’à gagner et c’est précisément ce que veulent les spéculateurs anglo-saxons que l’Euro gêne pour dominer totalement l’Europe et le monde.
« Voilà au moins un journal qui ne craint pas de défendre -ouvertement- les intérêts de son pays!
On rêve d’en posséder de tels! »
« Pendant que « The Economist » défend l’anglais, nos néo-curés traquent les mauvaises pensées ! »
Voilà le genre de réaction idiote de gens qui prennent fait-et-cause pour nos pires adversaires. Vous voyez pas la sournoiserie des Anglais qui crachent sur le monde entier? La seule réaction saine face à ça c’est de leur cracher à la figure en retour. À bas les Anglais! Boutons-les! Qu’ils restent dans leur coin avec leur hypocrisie à couper au couteau! C’est eux qui poussent la logique ultra-libérale à fond partout dans le monde, qui fomentent des guerres avec les américains et qui viennent se faire passer pour les plus beaux et les meilleurs grâce aux médias de droite et aux trotskistes. Vous ne voyez pas que c’est de la propagande vicieuse? Les aristocrates Anglais sont ceux qui poussaient l’UE à toujours plus de libéralisme Thatchérien mais au sein de l’Angleterre ils reprochent à l’UE d’être responsable des méfaits du libéralisme! La totale hypocrisie! Qu’elle brûle en Enfer leur Thatcher! The Economist est le premier à critiquer tous ceux qui font preuve d’un minimum de velléité de nationalisme mais qui défend bec et ongles l’égoïsme national anglais. On peut pas être plus sournois et hypocrite que la presse anglaise. Pourquoi les gens sont autant des moutons des anglais comme ça? De Gaulle avait raison : les Français sont des veaux!
Les Anglais s’amusent !
Puisqu’ils sortent de l’UE, pourquoi seraient-ils avares de provocations ?
En fait, ce ne sont les Anglais qui constituent un problème, c’est l’UE !
Il est évident que l’anglais ne doit plus être une langue de l’Union européenne mais l’allemand et le français doivent devenir les deux premières langues officielles des institutions européennes.
Il y a longtemps que Bruxelles est le Cheval de Troie des multinationales apatrides souvent étasuniennes!
L’Anglais est la langue de la standardisation au détriment des cultures nationales!
C’est ce que l’on appelle un procédé d’INFLUENCE qui affecte nos élites politiques, nos médias et in fine même nos gentils professeurs de l’Education Nationale qui se laissent aller facilement à parler une autre langue que le Français !
Voilà au moins un journal qui ne craint pas de défendre -ouvertement- les intérêts de son pays!
On rêve d’en posséder de tels!
Mais les nôtres rivalisent plutôt dans le registre de la flagellation, de la contrition et du repentir.
C’est d’ailleurs caractéristique : plus notre société se déchristianise, plus les médias et la gent-intello s’autorisent à jouer les pères fouettards d’une prétendue Morale Droit-de-l’hommiste.
Pendant que « The Economist » défend l’anglais, nos néo-curés traquent les mauvaises pensées !