Qui sont les salafistes de France ?
Le ministère de l’Intérieur recense plus de 60 mosquées d’obédience salafiste en France, souvent financées par l’Arabie saoudite et le Qatar. Par BAUDOUIN ESCHAPASSE (Publié le 26/11/2015 , Le Point.fr). Gaullisme.fr vous propose ce texte dans le cadre d’une information que nous souhaitons la plus large possible sur ce sujet.
C’est une note de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), datée de février dernier. Un document qui a motivé un nombre conséquent de perquisitions administratives, réalisées depuis dix jours dans le cadre de l’état d’urgence. Selon ce document, une soixantaine de mosquées françaises seraient aujourd’hui sous influence salafiste. Ce mouvement piétiste, né au XIXe siècle en Arabie saoudite, revendique une pratique rigoriste de l’islam. Il ne cesse de gagner du terrain depuis quinze ans dans notre pays. Si le terme de salafisme a pu être, parfois, associé à celui de djihad (en tant que « lutte spirituelle ou combat intérieur de la conscience pour percevoir le bien » dans la conception coranique), il ne saurait être confondu avec la pratique de Daech. « Nous trouvons insultant d’y être comparés, car, pour nous, les terroristes sont des khawarij [déviants ou sortants de l’islam, NDLR] », énonce un fidèle de la mosquée de Villetaneuse, étiquetée comme telle. Avant d’ajouter : « Nous les surnommons les chiens de l’enfer. Vous pensez bien qu’on n’a pas trop envie qu’on dise qu’on leur ressemble. »
Combien sont-ils ?
Selon Bernard Godard, ancien responsable du bureau des cultes au ministère de l’Intérieur, qui revient sur ce phénomène dans l’ouvrage La Question musulmane en France (éd. Fayard), le mouvement aurait débuté en région parisienne au milieu des années 90. Il s’est répandu depuis. Les bastions de Stains (Seine-Saint-Denis), Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine) ont ainsi essaimé à Argenteuil, Pontoise (Val-d’Oise), Corbeil-Essonnes et Longjumeau (Essonne). Le phénomène dépasse aujourd’hui très largement la capitale et sa banlieue. Si l’Ile-de-France concentre 25 mosquées et oratoires sous influence salafiste, le Grand Lyon en dénombrerait une vingtaine. Et Marseille une douzaine. Il en existerait par ailleurs une dizaine dans le Nord, surtout entre Lille et Roubaix. Sans compter des communautés disséminées dans des villes moyennes : de Vitrolles à Alès en passant par Besançon et Brest.
Le monde rural attire lui aussi les salafistes. On a beaucoup parlé d’Artigat récemment, où Olivier Corel s’est implanté en 1987. Dans le Cher, le village de Châteauneuf (1 500 habitants) a vu débarquer en 2009 une communauté salafiste dirigée par l’imam Mohamed Zakaria Chifa. En 2013, la petite ville de Marjevols (Lozère) a été témoin de l’arrivée de plusieurs familles traditionalistes, particulièrement visibles puisque les femmes sont intégralement voilées. Même chose à Saint-Uze (Drôme) où des femmes en niqab ont fait leur apparition sur le marché en 2014. Aucun recensement sérieux n’a été réalisé à ce jour. Mais, au total, ces lieux de culte rassembleraient entre 15 000 et 30 000 personnes en France, selon des sources ministérielles. Un chiffre encore modeste, mais qui aurait doublé dans les cinq dernières années.
REGARDEZ le reportage de France 3 sur Olivier Corel, réalisé en mars 2012 :
Sur la piste de « l’émir blanc » qui aurait accueilli les frères Merah
Salafistes ou plutôt wahhabites
Les musulmans d’obédience salafiste se présentent avant tout comme les héritiers directs des « pieux prédécesseurs » (« salaf » en arabe) ainsi qu’ils désignent les compagnons de Mahomet. Ils partagent avec les mouvements fondamentalistes de la péninsule arabique une lecture « littéraliste » du Coran et une pratique de la loi (la Sunna) rejetant toute interprétation moderne du texte. « À dire vrai plutôt que de les appeler salafistes, on ferait mieux de parler de wahhabites, car ces courants s’inscrivent dans la résurgence d’une pensée islamique moralisatrice émanant de l’université de Médine en Arabie saoudite, fondée au début des années 60 », émet l’islamologue Rachid Benzine, codirecteur de la collection Islam des lumières chez Albin Michel et auteur des « Nouveaux penseurs de l’islam » chez le même éditeur. Obsédés par les questions juridiques « de licite et d’illicite », ses tenants condamnent fermement la pratique de certains arts. Ils prohibent ainsi l’écoute de la musique laïque ou la danse. Ils prônent une séparation stricte entre les sexes. Et promeuvent le port du hijab (le voile musulman) dès le plus jeune âge, n’hésitant pas à frapper d’excommunication celles et ceux qui ne partagent pas leur conception de l’islam.
Un mouvement prosélyte
Très actifs sur le Net, ces prédicateurs salafistes, au rang desquels figurent le controversé imam de Brest, Rachid Abou Hudeyfa (voir vidéo ci-dessous), ou encore Nader Abou Anas (enseignant à la mosquée Al Imane du Bourget en Seine-Saint-Denis, également président de l’association D’Clic de Bobigny), multiplient les prêches online. Ils donnent des cycles de conférence à travers les conventions et autres salons organisés par la société Isla Events, notamment. Comme cette journée dite de « la femme musulmane » perturbée, en septembre dernier, par l’intervention d’activistes du groupe Femen. « Ces prédicateurs qui se présentent comme salafistes répondent à une forte attente de la jeunesse des banlieues. Celle-ci est en demande de cadres. Or, ils proposent une norme qui permet à des individus en quête de repères de s’approprier la tradition de manière simple, mais aussi de s’extirper, parfois, du chaos déstructurant des cités », analyse Rachid Benzine. Incarnés par des jeunes trentenaires qui ont la tchatche et qui leur ressemblent, les salafistes se targuent d’ailleurs d’avoir sorti nombre de leurs coreligionnaires de la drogue, de l’alcool ou de la délinquance.
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Abou Houdeyfa, le sulfureux imam de Brest par LePoint
La plupart des prêcheurs « salafistes » de France sont passés ou fréquentent encore la madrassa Cheikh Ayyoub : une école coranique de la porte de La Chapelle à Paris. Un établissement qui porte le nom de l’un des plus influents imams saoudiens actuels et qui joue un rôle important dans la propagation de la pensée « Hanafi » : l’une des quatre écoles sunnites très influentes dans les communautés afghanes, pakistanaises, mais aussi irakiennes et syriennes. Ce qui n’empêche pas plusieurs de ces imams de proposer également des enseignements « malikites » (hérités du théologien et juriste du VIIIe siècle Malik ibn Anas, NDLR), ce qui leur permet de solliciter des fonds auprès de mécènes du Koweït ou de Bahreïn où le clergé révère cette autre figure musulmane.
L’influence de l’Arabie saoudite
Là où le Qatar finance plus volontiers les associations et les mosquées affiliées au mouvement des Frères musulmans ou de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), les communautés salafistes savent pouvoir compter sur l’appui et le soutien financier de Frères saoudiens. C’est ainsi que la mosquée de Cannes a reçu l’an dernier un chèque de deux millions d’euros de la part d’un généreux mécène de Jeddah : Saleh Abdoullah Kamel, président du groupe bancaire Al Baraka et qui chaperonne des dizaines de programmes d’actions de par le monde. Traditionnellement placées dans le giron des pays d’origine des communautés qui les fréquentent (Maroc, Algérie, Turquie…), les mosquées de France sont de plus en plus nombreuses à solliciter les faveurs de Riyad sous le couvert de l’une des nombreuses ONG qui y ont fleuri depuis cinquante ans. À commencer par la plus célèbre d’entre elles : la Ligue islamique mondiale, fondée par le prince Fayçal en 1962.
Un grand nombre des 350 mosquées en cours de construction en France bénéficieraient ainsi, pour tout ou partie, des subsides de l’Arabie saoudite. Ces chantiers, moins pharaoniques que ceux d’Évry ou de Lyon (inaugurés en 1994) et de Strasbourg (ouverte en 2012), là encore financés par les Saoudiens, visent à rattraper le manque de lieux de prières musulmans dans notre pays. Pour mémoire : la France ne compte que 2 500 lieux de culte musulmans aujourd’hui contre 45 000 églises. Là où les communautés de fidèles des deux cultes avoisinent respectivement 4,5 millions de personnes pour l’islam et 11 millions de pratiquants réguliers pour la religion catholique.
Faut-il s’en inquiéter ?
« Tous les fondamentalismes ne mènent pas au djihadisme et au terrorisme. Mais la pensée wahhabite fait indéniablement le lit d’un certain repli sur soi et d’une crispation identitaire néfaste pour le vivre-ensemble », émet Rachid Benzine. C’est pourquoi le ministère de l’Intérieur se montre très vigilant face aux imams défendant cette théologie. Et ce, même si la plupart d’entre eux se présentent comme « quiétistes » et se démarquent régulièrement des actes de violence perpétrés au nom de l’islam. Il n’en demeure pas moins que plusieurs imams salafistes, d’origine saoudienne, se sont illustrés depuis cinq ans par d’inquiétantes prises de position. Saad Nasser Al Shatri a fait l’objet de l’un des premiers arrêtés d’expulsion en 2012 parce qu’il prônait à ses fidèles d’isoler leurs épouses. Saad Nasser Al Shatri tenait par ailleurs des propos très hostiles vis-à-vis des non-musulmans.
En janvier dernier, un autre prédicateur, vivant à Jeddah quant à lui, Isa Assiri, justifiait les attentats contre Paris en ces termes : « C’est le seul langage que les infidèles juifs et chrétiens comprennent. » En mai dernier, un autre cheikh saoudien, Mohammed Ramzan al-Hajiri, qui faisait pourtant l’objet d’une interdiction d’entrée sur le territoire français « en tant qu’individu susceptible de troubler l’ordre public en raison de ses prêches islamistes radicaux », selon une source policière, est néanmoins parvenu à rejoindre Roubaix pour participer à une conférence, suivie par près de 1 500 personnes. Il était passé par l’Italie, passant la frontière sous un autre nom, a révélé Le Canard enchaîné.
Les imams « salafistes » français ont eu beau désavouer publiquement les actes de violence du 13 novembre dernier, aucun d’entre eux ne s’est encore démarqué de la doxa saoudienne en matière de question sociale. Plusieurs d’entre eux ont d’ailleurs fait polémique en reprenant des argumentaires tout droit sortis des madrassas de Médine ou de Riyad. Comme Mehdi Kabir, hier en charge de la mosquée de Villetaneuse, qui a enregistré, il y a quelques années, deux vidéos où il expliquait le plus sérieusement du monde que « ceux qui mangent du porc se mettent à ressembler au porc ». Et, dans l’autre, que les femmes qui ne portent pas de hijab se préparent à brûler en enfer, car elles sont fatalement des « fornicatrices ». Deux prêches qu’il regrette amèrement aujourd’hui, assure un fidèle de Villetaneuse. D’autant plus que le conseil d’administration de l’association qui gère ce lieu de culte lui a signifié, il y a quelques jours, qu’il n’était plus le bienvenu à la mosquée. L’étiquette « salafiste » est parfois bien lourde à porter.
AFFIRMONS NOTRE IDENTITE AVEC FORCE ET COURAGE
Nous sommes au XXI siècle. Pourtant le souvenir de guerres de religion refait surface alors que nous pensions qu’il était définitivement enfoui dans nos vieilles archives poussiéreuses. De la conquête de l’espace nous revoilà de retour à l’homme des cavernes. Quelle dégringolade ! Alors que tant de défis nous attendent, notre progression est stoppée par des hordes d’abrutis sans cervelle.
La France n’est pas à ce jour, constitutionnellement du moins, une république théocratique islamique voire une monarchie absolue de droit divin où s’entremêlent le temporel et le spirituel.
La France a vécu des moments historiques tragiques pour inscrire désormais dans les faits ce qu’elle prétend être aujourd’hui c’est à dire une République laïque, démocratique et sociale.
Ainsi en avait décidé le peuple français souverain à une écrasante majorité, lors d’un référendum populaire. C’était son choix. Il demeure.
Le destin des Français n’est pas de vivre ou de revivre le Cheval de Troie ni la Cinquième Colonne du fait du prosélytisme de prédicateurs haineux, payés, nourris, entretenus et soignés par Marianne. Les prêches de ces gourous sont diamétralement opposés à l’exercice d’une pratique religieuse paisible, qu’une majorité de pratiquants est en droit d’attendre sur notre sol.
C’est hallucinant de voir l’honneur de la France si ardemment défendu jadis, souillé par un terreau de propos blasphématoires ! Et qu’elle ingratitude !
Ces prédicateurs abrutis et paumés, sans culture, oublient nos principes fondamentaux défendus par des esprits éclairés à travers notre histoire nationale et qui s’appliquent toujours dans l’exercice de notre démocratie et de notre « vivre -ensemble » car ils sont nécessaires à l’équilibre de notre société, qu’un presque rien peut déstabiliser.
La France c’est celle aussi d’Eugène Delacroix peignant en 1830 « La liberté guidant le peuple » avec comme personnage central une femme, avec sa poitrine en partie dénudée, brandissant le drapeau tricolore français . Faudrait-il revenir aujourd’hui pour faire plaisir à ces obscurantistes, à la ceinture de chasteté et à ce bout d’étoffe noir, informe, laid et largement imposé, de nature à épouvanter nos nourrissons encore dans leur berceau, habitués à voir leur mère à visage découvert se pencher vers eux ? En aucun cas nous devons accepter l’inacceptable qui plus est de la part d’hypocrites qui savourent en catimini drogue, alcool et lupanars!
La plastique féminine mise en valeur dans notre littérature, l’art sous toutes ses formes, nos thèmes musicaux, nos publicités, nos parfums,… est agréable à nos yeux et est mise en valeur par la haute couture française reconnue à travers le monde entier. On aime ses modèles et les dessous chics. On en redemande. On visite même la France pour cela. Le plaisir est partagé tout naturellement entre personnes du sexe opposé . Pour quelle raison alors, la femme occidentale serait l’archétype de la femme fornicatrice ? Les prédicateurs moralisateurs seraient bien inspirés de condamner plutôt les armée de terroristes barbares qu’ils soutiennent idéologiquement et qui séquestrent des centaines de jeunes filles pour leur faire subir des viols collectifs et les pires sévices avec un droit de vie et de mort.
Ces prédicateurs et leurs complices criminels n’ont pas leur place en France. Manifestement ils se sont trompés de pays de destination,de modèle de société et d’époque. Ils se retrouvent brutalement isolés dans leurs délires et leurs dérives car la France entière vient de manifester unanimement son attachement à châtier les auteurs de menaces ou d’actes hostiles aux intérêts du pays . De facto leur isolement les rend fous de rage car la vie à la mode occidentale continuera sans eux à un rythme de croisière comme à l’ordinaire.
Plus que jamais, après les attentats de Paris, la France a le devoir, pour préserver sa survie, ses modes de vie, ses traditions séculaires, ses choix de société, ses idéaux, de séparer le bon grain de l’ivraie et si nécessaire par la fermeté et la force s’il n’y a que ce langage que nos ennemis puissent comprendre.
Et si cela ne devait pas suffire, il y aurait lieu de fermer des mosquées, d’expulser sans le moindre état d’âme les prédicateurs dangereux, d’opérer des refoulements à nos frontières qui doivent être filtrées, de prononcer des déchéances de nationalité et j’en passe , dans le cadre de l’état d’urgence décrété qui doit être l’occasion de commencer le grand nettoyage dans tous les coins et recoins.
Le gouvernement actuel y procède.Fallait-il en arriver à ces attentats de 2015 pour que nos autorités successives prennent enfin tour à tour conscience de la mesure des dangers qui nous guettent ?
Le kärcher et les effets d’annonce en trompe-l’oeil n’amusaient finalement que la galerie pendant que d’autres affûtaient en silence leurs canons et préparaient leurs mèches. Que de temps perdu ! Le résultat macabre est sans appel ! La complaisance doit prendre fin !
La préservation de nos vies et de nos libertés à malheureusement un coût et des voix se font entendre pour dénoncer les désagréments au quotidien, le ralentissement économique né du sentiment d’insécurité et la rallonge budgétaire rendue nécessaire pour assurer notre sécurité collective. Avons-nous d’autres choix ?
Au bout du compte viendra fatalement le moment pour le gouvernement actuel de faire le bilan de son « butin de guerre » en mémoire des 13O morts et autres blessés civils de la génération dite Bataclan que la France toute entière a rendu hommage dans la Cour d’Honneur des Invalides.
Le temps des palabres est terminé. Les Français attendent maintenant des actes forts et surtout des résultats significatifs dans bien des domaines…à commencer par l’éradication des cellules dormantes qui attendent notre moindre relâchement pour repasser à l’action.
René Floureux 27.11.2015
Oui, Viviane Dubost, deux décennies que la France a embarqué, à Maastricht, sur le Titanic supranational… Elle se contente, depuis, d’une classe politique « bas de gamme », mais qui finit par lui coûter cher : la France a cessé de décider pour elle-même,… dans absolument tous les domaines.
Si la constitution prévoit que le ministère de l’intérieur est aussi en charge des cultes, c’est bien que l’idée du législateur était claire sur ces questions : tous les cultes autorisés sont et resteront porteurs de risques fondamentalistes.
Qui n’a pas fait son travail, et pourquoi ?
Nos représentants nous trahissent et les partis gouvernent à nouveau !… La Quatrième République, comme une tumeur maligne, s’est ré-installée, au cœur de la Cinquième, mais cette fois-ci, avec un inconvénient majeur par rapport à l’originale:
– plus personne ne peut renverser le gouvernement, le président ayant la légitimité du suffrage universel pour cinq ans…
Le parlement peut donc continuer à être ce qu’il est :
– la chambre d’enregistrement des directives de Bruxelles pour tout ce qui est économique et social,… et de Washington, pour la diplomatie et la défense.
La France doit gouverner la France !
Ce n’est pas un simple slogan…, c’est la condition sine-qua-non de la démocratie et de la continuité républicaine.
Que sont nos accords et nos divergences, sans un parlement national digne de ce nom pour les exprimer et les traduire en lois et quand ce même parlement obéit à une entité supranationale non-élue, dont on ne se demande même plus à qui elle obéit elle-même ?!!
Quelles que soient nos divergences sur tel ou tel sujet, nous avons donc tous le même problème :
-nous sommes tous privés du moyen d’en débattre.
La France doit donc gouverner la France, c’est l’objectif commun essentiel, le seul combat qui vaille.
Sinon il nous faudra un jour culpabiliser également pour nous être tus pendant que nous vivions au dessus de nos moyens grâce à nos bailleurs de fonds, les mêmes qui financent les mosquées et arment le terrorisme avec le matériel militaire que nos gouvernement leur vendent…
Il est grave que ce soit seulement maintenant que nos hommes politiques commencent à se réveiller. Il y a au moins deux décennies que ce phénomène est perceptible, en France. Mais les différents gouvernements ont laissé tout cela s’installer insidieusement. A ce moment-là, il était encore temps d’agir mais on a fermé les yeux sur ces premiers signes alarmants. Au contraire, on nous a culpabilisés. Voilà le résultat…
Merci pour cet article qui présente la situation actuelle avec des mots simples et précis.
Bien cordialement
Pierre Coureux
72, rue Vauvenargues
75018 Paris
Je vous signaler un article d’Olivier Roy, l’un des meilleurs spécialistes du monde arabo-musulman, paru le 24 novembre dans « Le Monde ».