2010 : A tous les Français

La force de De Gaulle, c’est qu’il parle toujours aux Français. Je suis entré dans la peau du Général, mais il a fini par avoir la mienne. Il me tient, il est toujours là dans les recoins de ma personne et, lorsque l’on me voit, on pense à lui. De là, mon amour de la France et sa défense à tous crins. « On devient ce qu’on admire », dit Gandhi.
Cinquante ans après, on me demande toujours : « Est-ce que De Gaulle vous a reçu ? L’avez-vous vu ? Quelle était votre relation ? » Je réponds à cela dans ces pages.
Certaines choses inconnues des Français se trouvent consignées dans ce livre où mes confessions se mêlent à l’Histoire de notre pays. Bien sûr, les anecdotes drolatiques, comiques et parfois très émouvantes, je vous l’assure, y fleurissent aussi

 

  • 70e anniversaire de l’Appel du 18 juin 1940 – 40e anniversaire du rappel à Dieu du général de Gaulle

couv8666g_260 La force de De Gaulle, c’est qu’il parle toujours aux Français. Je suis entré dans la peau du Général, mais il a fini par avoir la mienne. Il me tient, il est toujours là dans les recoins de ma personne et, lorsque l’on me voit, on pense à lui. De là, mon amour de la France et sa défense à tous crins. « On devient ce qu’on admire », dit Gandhi.Cinquante ans après, on me demande toujours : « Est-ce que De Gaulle vous a reçu ? L’avez-vous vu ? Quelle était votre relation ? » Je réponds à cela dans ces pages.

Certaines choses inconnues des Français se trouvent consignées dans ce livre où mes confessions se mêlent à l’Histoire de notre pays. Bien sûr, les anecdotes drolatiques, comiques et parfois très émouvantes, je vous l’assure, y fleurissent aussi. Pour preuve : De gaulle répliquait à ses petits-enfants qui l’imitaient tout en m’imitant : « Taisez-vous Tisot ! » Il fit aussi cette constatation en apprenant que mon deuxième 45 tours s’était vendu à 300.000 exemplaires alors que le premier avait atteint le million : « Tisot baisse, je vais encore me retrouver tout seul ! »

Je serai jusqu’à ma mort « l’imitateur du général de Gaulle » et le laudateur du « Grand Charles », selon Maurice Druon dans sa préface.

Revenant de Baden-Baden dans la tourmente de mai 1968, à Georges Pompidou, son Premier ministre, qui lui demandait : « Où en êtes-vous mon Général ? », De Gaulle lui répondit : « Je me suis mis en accord avec mes arrières pensées. » Pareil pour moi. Je mets dans ces pages mes arrière-pensées avant qu’elles plaisent ou qu’elles ne plaisent pas, notamment en ce qui concerne cette Union européenne qui n’a plus rien à voir avec l’Europe que préconisait De Gaulle.

Bref, j’imite toujours le Général. Et j’en ai du bonheur ! Par ce livre, j’en souhaite autant à la France ! signaturetisot

Histoire de ma vie ou livre d’Histoire ? A vous de voir.

Vive la France !

 

 

 

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