Pauvre France !
Emmagasinant les informations journalières de la presse écrite, des journaux TV, etc.… un constat effrayant s’impose : la France va mal et son peuple souffre.
Gaulliste de conviction, militant depuis 1967 (A l’époque adhérant à l’UJP – jeunes gaullistes), je regrette profondément la disparition de la France du général de Gaulle : souveraine, indépendante, sociale, moderne, avec une économie en développement, une politique de services publics enviée au-delà de nos frontières (Santé, entreprises publiques, énergie nucléaire…) une armée digne au service de la Nation, un Etat concret…
Aujourd’hui, résultat de quatre décennies d’abandon (et ça continue !), la France va mal. La France n’est plus respectée. Elle est déclassée.
L’ultra gauche, accompagnée de ses alliés, veut casser la Ve République qui depuis 65 ans a prouvé son efficacité et permis à la France de résister aux crises nationales et internationales.
Revenir au gaullisme originel est une obligation pour que « vive la France ».
Alain Kerhervé
Pauvre France et fin de vie . Un calendrier fixé à avant les élections européennes , en conjoncture internationale grave , et calendrier ne respectant pas la gravité du sujet , gravité dépassant les partis , et qui ne mérite pas un tel calendrier taxable d’ électrisation des esprits et d’ instrument de gouvernance par clivages ou de calculs en échéances . Pauvre France et fin de vie . Occultant les carences dans les soins palliatifs , vaste tâche en soins et se situant en état de carences dans l’ hôpital dans les murs et l’ hospitalisation à domicile aussi , les sous effectifs en EHPAD et même en établissements publics , les pressions de gouvernance hospitalière en tarifications et durées de séjours , les manques d’ effectifs et les cas déjà difficiles à prendre en charge par les soignants en leurs tâches de soins , les carences de l’ accès aux soins palliatifs et de l’ accès aux soins , en loi mûrement réfléchie et votée relative aux soins palliatifs . Pauvre France à qui il faut souhaiter un peu plus de prudence et recul et conscience sur le fait de se voir proposer de légiférer dans le même temps sur la fin de vie . Le soin est vie ou sinon vide de sens et vide n’ encourageant pas les effectifs . La fin de vie , où se situe son début ? Et le palliatif recouvre l’ ensemble , en soins quand l’ accompagnement est soin comme le manteau dit pallium . Pauvre France et fin de vie . Légiférer pour résoudre tout et tout cas individuel est illusoire , c’ est la vie et vie en société aussi . Légiférer , c’est se garder aussi de manipuler ou contourner le sens des mots comme celui de suicide-assité et euthanasie . Légiférer , c’ est un rappel des zones d’ ombres dont il faut se garder et cela dit en gravité et liberté par M. R. Badinter . Pauvre France si elle venait à se contenter des clivages ou invectives ou jeux de pouvoirs et de partis ou vanités du toujours plus ou du jeu de bannières sociétales , sans pudeur ni humilité ni gravité . Pauvre France en manque de soins . Quand , il est vrai , il n’y a pas que la France
Les scintillements , les ors , les dits messages au monde , ce n’est pas leur problème , ce n’ est pas leur monde , ce n’est pas de ce monde et par ce monde en l’ état , c’ est comme hors-les-murs , et si « les pauvres nous les auront toujours » en Écriture , les enfants des conflits sont Enfance et mendiants d’ Espérance
Par correction , encore , d’ orthographe , Mme Simone Veil
Par correction , d’ orthographe , Mme Simone Veil
Correction d’ orthographe : Mme S. Veil
Une Constitution , c’ est un socle en garde-fou et non un catalogue de bannières sociétales ou idéologiques . La loi IVG telle que présentée par Mme Simone Weil n’ est pas remise en cause et dans sa réponse aux difficiles choix et détresses en contextes sociétaux variés . La constitutionnaliser , comme une avancée historique ? Un non-sens en respect du sens d’ une Constitution . Et , sans même attendre le vote en Congrès par anticipation même du gardien des Sceaux , gloriole déjà en hargnes sociétales et d’ utilisation en bannière comme message au monde et à ce titre vanité
Le fond et la forme . 1. La Constitution n’ est pas une loi , mais un socle . 2. La Constitution a été librement acceptée . 3. La Constitution n’ est pas un bâillon où le marbre peut inscrire qu’ il est interdit de s’ exprimer ni même un marbre éternel . 3. La Constitution peut avoir ses faiblesses : ce qui a été voté par référendum ne peut être modifié ou annulé que par un référendum , mémoire du Non de Mai 2005. 4. La Constitution n’ est pas un catalogue de droits sociaux ou sociétaux . 5. L’ IVG n’ est pas remise en cause . 6. Un débat sociétal par l’ inscription de l’ IVG dans la Constitution peut être opportunité en clivages et calculs de régner ou pour d’ autres calculs pour ménager l’ obtention de votes de partis ou pour d’ autres une « leçon » en France ou au monde en bannière une de plus en hystérisation sociétale et idéologie .7.L’ application en moyens pour les détresses et même d’ accompagnement dans le cadre d’ une liberté en gravité du choix n’ a pas été évoqué , et dire qu’il y a eu manque de débat dans l’ application de la loi n’ est pas une remise en cause de l’ accès à l’ IVG . 8. La Constitution n’ est pas un catalogue de droits sociaux ou sociétaux , ni un outil pour fermer tout débat , ni un outil par quelque ou cette occasion pour imprimer le droit de brèche par idéologie sociétale alliée aux calculs politiciens jusqu’ à initier l’ escalade en lois sociétales brandies en bannières et dénaturer la sobriété en Droit et mots bien pesés et définition :qu’ est ce qu’ une Constitution ? .9. La Constitution n’ est pas une bannière en gifle ou lumière au monde ni un bâillon mais un garde-fou en Nation . 10. La lâcheté ou la tiédeur ou le circonstanciel ou le conjoncturel ou les calculs politiciens pour leurs électorats au déni du sens en définition de la Constitution ou aussi et même le diviser pour régner ou cliver ne sont pas spécifiquement ou explicitement en liberté interdits par la Constitution
C’est évident, bien synthétisé, mais on fait plus ou moins l’autruche. Le « Chérubin » ne se pose pas la question d’un repositionnement de la France, il applique sa stratégie atlantiste,(sous contrôle de ses « mentors financiers US), et celle d’une UE supra-nationale mais sans réelle souveraineté, et surtout, coupée de la Russie, qu’il faut « maitriser » en l’abaissant. Depuis Monnet, Schuman, sous contrôle OSS puis CIA, le système est en route et l’éclaircie gaulliste a été vite effacée avec la « collaboration » de chefs d’Etat de petite envergure. Il ne nous reste plus que la force de dissuasion comme indice de souveraineté mais que le petit coq veut brader à ses « alliés » qui n’attendent que cela pour être définitivement clairs en Europe. Espérons que cela fera enfin bouger le peuple car nos politiques, même souverainistes, craignant les rétorsions des financiers internationaux, parlent, râlent, mais s’écrasent. Heureusement, il n’y a rien de plus dangereux qu’un peuple qui se « réveille ». Il y a un « Appel » à renouveler…
La loi Badinter est article de la Constitution où elle a sa place , toute sa place / « Une » loi , en l’ occurence l’ IVG , c’ est une loi , en l’ occurence défendue et votée répondant aux détresses et devant être appliquée . et si d’ aucuns voulaient l’ abroger en tant que loi , le Parlement mmandaté par les urnes ou la rue même peuvent toujours exister et signifier / ou alors ce serait signifier qu’ il n’ y a plus « veille » ni droit de veille ou réveil ni droit de réagir que de dire qu’ en la constitutionnalisant une loi serait supérieure et protégée en Constitution , ce qui serait brouillage aussi dans le sens des mots et des termes tels que loi et lois et Constitution . Faut-il écrire ou inscrire ? La Constitution en sa définition n’ est pas un bâillon mais un garde-fou en Liberté aux bâillons . D’ une loi à une autre , il est écrit car voté en loi sur la fin de vie et les soins palliatifs , une loi mûrement réfléchie imposant d’ être appliquée avec des moyens multifactoriels non virtuels ni déficients en carences , et une loi non pas une redécouverte en nov’langue et par un plan programme lointain et en agitant en même-temps un sujet , en ces temps de clivages , et de calculs politiciens jouant sur les clivages en sujets sociétaux , comme un toujours plus en quelque intelligence supérieure , mais heurtant à cliver sur un sujet très profond , très grave aussi pour quelques nombreuses blouses blanches , un sujet qui dépasse le sociétal ou le « la liberté n’ a pas de limite » et a fortiori en conjoncture très troublée
Le coup du drapeau , …. clivant , en idéologie pour cliver et en usant en conflit d’Europe et avant les élections européennes , et anticonstitutionnel en l’état
A Corsaire… et quand hier encore vous entendez la 1ère Ministre parler de « CE PAYS » ….on n’est plus en France puisqu’elle signe venir d’ailleurs…C’est la même remarque qui s’impose à tous ces politicards qui parlent de « ce Pays » en invoquant la France…à croire qu’ils n’y sont pas nés.
Vive la République, vive la France et virez tous ces faux culs !!!!!
Pauvre France ? … pire et peine … en docte sentence d’interview de M. Robert Badinter » l’ avenir pour les générations futures c’ est toujours plus d’ Europe » comme » les nations n’ ont plus leur place » comme on dirait le temps des nations est révolu . Quelle France , quelle Europe ? / Quelle politique Étrangère ? …. Et pendant ces temps , les Français ont voté c’est un fait et ainsi et les guerres grondent d’ empires par-dessus nos votes et nos têtes
NON, jamais pauvre France ! dire cela c’est rabaisser la France et faire plaisir à ceux qui s’en servent et ne la servent pas.
LA MEDIOCRATIE sur fond d’HYPOCRISIE avérée et entretenue par des dirigeants plus « acteurs de théâtre ou de com « que soucieux de prévention des crises et de lutte contre les conflictualités géopolitiques qui en découlent.
Pour conclure mon impression j’emprunterai l’idée développée par Hervé BAZIN :
« Tout pouvoir qui cultive l’hypocrisie de sa perfection ne tombe pas seulement dans le ridicule et dans les excès de la dévotion à lui-même ,il détruit l’espoir de la nature humaine en la continuité du progrès ; »*
Le peuple de France ferait bien d’y prendre garde s’agissant de cette inclinaison comportementale propre à une majorité de ses dirigeants actuels.
Bien respectueusement ,amitiés.
Le grand déballage récent de Mr PROGLIO (ancien Président d’EDF) interrogé par les députés à propos de nos soucis de disponibilité d’électricité dans notre pays, nous éclaire sur la manière avec laquelle nos intérêts fondamentaux sont gérés, à savoir…:
« C’est complètement au doigt mouillé. Totalement ! Personne n’a jamais estimé autrement que comme ça. »
Hélas ,trois fois hélas les politicards aux manettes du pays, à tous les niveaux, se comportent souvent de cette manière et après on défile dans la rue ,on fait grève, on se lamente, en constatant les dégâts ainsi engendrés dans tous les domaines. Les Français sont devenus les « rois du pépin » en refusant le sérieux électoral ou en s’abstenant massivement à chaque élection. Faudra -t-il attendre de rejoindre au palmarès de la honte électorale nos amis Tunisiens, lesquels aux dernières élections se sont abstenus à prés de 89%, pour remettre de l’ordre dans notre MEDIOCRATIE ?
Comment donc avec un tel personnel au plus haut niveau de l’Etat répondre de manière sérieuse, donc étudiée aux questions que je partage avec toi ;
L’engagement de la France, puissance nucléaire, dans le conflit ukrainien pose plusieurs graves questions : comment accepter que notre pays soit entraîné dans une probable guerre sans qu’à aucun moment la chose ait été réellement examinée, discutée et débattue ? Et pour quels objectifs ? Et avec quelle puissance militaire croyons nous pouvoir mener ce combat ?
Le Gl Faugère n’est pas loin d’ouvrir la porte des causes à la situation géopolitique que nous traversons avec le conflit Russo Ukrainien ,sans pour autant abandonner l’essentiel de sa réflexion sur les conséquences de nos inclinaisons de gouvernance :
De surcroît, notre pays se trouve maintenant enlisé dans un conflit dont il n’a pas été demandé à la représentation nationale ce qu’elle en pensait et encore moins à son peuple dit souverain.
Car il s’agit bien de mettre les choses en ordre des choix du peuple Français plus prompt, le nez sur le guidon, à se faire représenter par des « arnaqueurs » de la République sans autre critère de choix de qualité porté vers une bonne cote d’amour pour un coefficient angulaire facial qui passe bien à la téloche, une forte capacité à faire entendre sa grande « gueule », voire à toute autre inclinaison d’affairiste mêlant l’argent ,le sexe ou la drogue.
Parler d’orientations stratégiques militaires dans ces conditions , de prévention des crises conflictuelles, c’est un peu vouloir fabriquer un avion supersonique avec des pièces de bicyclette !
Certes, comme le souligne en conclusion le Gl Faugère, » Il n’ est pas nécessaire d ‘espérer pour entreprendre … ! et de ce point de vue que je partage aussi , encore faudrait il que la voiture balai ne soit pas exclusivement réservée au Tour de France cycliste mais prenne aussi sa place dans les cortèges de nos consultations électorales.
Bien respectueusement ,amitiés sincères.
Chers amis,
Au lendemain de réitérations de mouvements sociaux d’importance dans notre pays je ne peux m’empêcher de vous faire recopie de mon analyse publiée il y a plus de sept ans en 2016.
En votre aimable et indulgente lecture.
Bien cordialement dans la tourmente.
JC BAERT
NB : Prière de mettre le Zoom pour une lecture plus confortable
Concernant Chirac, il faut aussi rappeler le quinquennat qui met en cause les fondements de la constitution 58-62.
« Revenir au gaullisme originel est une obligation pour que « vive la France ».
Souhait tout à fait partagé à un bémol près…avec QUI ?
Une constante depuis la fin du service rendu à la France par le Gl de Gaulle et une équipe de vaillants Ministres. La glissade vers l’abime n’a été que la conséquence ayant eu pour cause d’avoir donné les clés du camion France à des petits politicards sans foi ni loi jusqu’au dernier petit parvenu prétentieux sorti de la cuisse aux « enfers » !
Excellente synthèse de Monsieur Gladieu. Mais quid de la suite ? Il fut un temps où l’action était toujours à l’affût derrière le discours, or actuellement ce sont le sophisme et l’irresponsabilité qui dominent parmi ces ambitieux qui confondent théorie et expérience. Attendons-nous un nouvel avatar? (dans le bon sens du mot).
Mon Cher Alain
Je partage votre analyse car j’ai exactement le même ressenti. En revanche , je serai beaucoup plus critique vis à vis de l’action de Jacques Chirac qui mis à part le refus sur l’Irak n’a cessé de De gaulliser le RPR et suivi en tous points Mitterrand dans oeuvre funeste d’abandon des souverainetés et de soumission vis à vis des USA (OTAN et Europe americaine de Bruxelles). Les successeurs n’ont fait qu’enfoncer le clou. Seul le Frexit pourrait permettre à la France de redevenir la France mais personne ne veut s’y résoudre. Tel est le problème.
Cher Alain Kerhervé,
Je me permets de donner un modeste avis personnel sur la Constitution de la Vème République. Celle-ci est promulguée alors que la France évolue dans un contexte international et national bien précis.
Fin des années 1950-début des années 1960, la rivalité Est-Ouest (URSS/USA) menace l’indépendance et la sécurité des pays qui refusent de « s’aligner » … comme d’ailleurs de ceux qui « s’alignent » de gré ou de force !
A la même époque, la « construction » européenne balbutiante est influencée par la logique atlantiste.
En outre, la crise algérienne achève de pourrir le climat politique français.
Dans ces conditions (la liste n’est pas exhaustive), le Général a besoin qu’on lui laisse les mains libres pour mener à bien une politique qui est loin de recueillir l’assentiment de la classe politique : prise de distance avec l’Otan, édification d’une Europe Confédérale, auto-détermination de l’Algérie.
En ce sens, la Constitution de la Vème République semble un bon compromis. Mais un bon compromis n’est valable que si les positions de principes sur lesquelles il a été établi continuent d’être respectées. Par ailleurs, un compromis est appelé à évoluer à mesure que sont atteints les objectifs fixés.
J’ai la faiblesse de croire que c’est ce que pensait le Général. On a pu se rendre compte de ces évolutions avec, par exemples, l’élection du président de la République au suffrage universel ou la volonté de plus en plus pressante de voir mises en applications les idées de participation, d’intéressement et de régionalisation (ce qui lui sera finalement fatal).
Mais après son départ de l’Elysée, on a pu se rendre compte que, derrière lui, personne (ou peu de personnes) ne suivait. Ou, du moins, qu’il n’y a pas eu d’héritier politique capable de poursuivre victorieusement l’action entreprise.
Pompidou a (volontairement ?) laisser entrer le Royaume Uni dans la CEE. Giscard a poussé à l’Europe supranationale.
Mitterrand s’est engouffré dans la brêche (traité de Maastricht et abandon de la souveraineté monétaire) et à accélérer le recentrage de la politique étrangère de la France vers l’atlantisme (soutien à Reagan dans l’affaire des missiles en 1983 / participation à la guerre du Golfe de 1991).En outre, il a introduit dans les pratiques politiques cette incongruité (d’un point de vue gaulliste) qu’est la cohabitation.
Chirac (même s’il faut le féliciter d’avoir fait un « petit scandale » en Israel juste après sa première élection et d’avoir refusé de suivre Bush fils en Irak en 2003) a remis la France dans le commandement militaire intégré de l’Otan et a engagé les troupes françaises dans l’agression de 1999 contre la Yougoslavie. Il a également recouru à la cohabitation et dénaturé la constitution avec le quinquennat.
Sarkozy a enfoncé le clou de la logique atlantiste (pourtant, en 2008, lors de la guerre Russie-Géorgie, il avait fait preuve d’un sang-froid diplomatique efficace).
Hollande n’a pas eu de politique internationale … ni nationale d’ailleurs !
Enfin le Chérubin de Saint-Honoré (selon l’excellente formule de notre ami Baert), n’est visiblement pas en mesure de repositionner favorablement son pays dans le concert de nations en adoptant une position de véritable médiateur dans le conflit Russie-Ukraine.
Tout ce bavardage pour dire que depuis le 27 avril 1969, la Vème République n’est plus.