Jusqu’où iront-ils ?
- Nicolas Dupont-Aignan, député gaulliste, candidat à la présidentielle
En capitulant face à Mme Merkel, Nicolas Sarkozy prive la France de sa liberté démocratique sans pour autant gagner en efficacité économique.
En effet, le projet de traité européen sur lequel ils sont tombés d’accord supprime la souveraineté budgétaire de notre pays et transforme encore un peu plus l’Assemblée Nationale en une chambre d’opérette. Le pouvoir de lever l’impôt, qui est à la source de la démocratie parlementaire est ainsi transféré à Bruxelles, paravent de la domination de l’Allemagne.
Pire encore, en imposant la fameuse « règle d’or », on nie le droit du peuple français à mener une politique économique indépendante. On soumet l’examen de notre budget à la Cour de Justice européenne qui le vérifiera et on accepte de voir nos partenaires décider automatiquement des sanctions financières à l’encontre de notre pays.
Il s’agit d’un véritable suicide démocratique qui n’a d’égal que le vote des pleins pouvoirs au Maréchal Pétain.
Qui plus est, cette reddition est habillée d’un verbiage pseudo-raisonnable de bonne gestion budgétaire assez ubuesque pour un gouvernement qui a gaspillé près de 45 milliards d’euros dans le puits sans fond de la Grèce…
D’autre part, non content de priver les Français de la maîtrise de leur destin, ce projet de traité sera totalement contreproductif économiquement puisqu’il enferme la France dans une politique de récession cumulative, creusant les déficits sous prétexte de les réduire.
Martelons-le : la vraie cause des déficits et de la dette tient aux délocalisations massives qui font perdre à l’Etat les recettes fiscales et sociales nécessaires au fonctionnement.
Réduire la dette, limiter les déficits, autant de politiques certes nécessaires mais qui exigent dans le même temps une politique économique qui s’attache à relocaliser les activités. Voilà pourquoi seule la sortie de l’euro, la mise en œuvre d’un protectionnisme intelligent, la baisse des charges sur les PME et le contrôle des banques peuvent permettre de sauver notre économie.
En clair, la France comme l’Europe ont besoin de protection, de croissance, de respect entre les peuples ; en somme tout le contraire de l’uniformisation et de l’écrasement de tous les autres pays par un seul partenaire. Tout le contraire d’une usine à gaz supranationale digne de l’URSS qui nie la diversité, qui confond union et désunion, unité et uniformité. Tout le contraire de la liberté !
Il fut un temps où le gaullisme était synonyme de lucidité et de sagacité politique…
La stupidité de cet article nous montre que ces temps sont révolus et que le gaullisme prend aujourd’hui son inspiration auprès des desiderata des actionnaires de la FED…Cruelle désillusion!
Nous avions, avec la « crise », une toute petite chance de retrouver notre honneur, notre souveraineté nationale et notre liberté financière, une opportunité que nous avons soigneusement enterré avec constance et opiniâtreté grâce aux positions de Nicolas Sarkozy à Bruxelles…Un temps viendra où on rendra hommage à la fermeté de madame Merkel qui a évité – seule contre tous – aussi longtemps que se pouvait, de voir les états européens inféodés définitivement à la finance ethnique d’outre atlantique…
Bravo madame, dommage que vous ne présidiez pas aux destinées de la France!
Curieux de voir qu’on lui en veuille ici à ce point… au lieu de l’encenser!
Sarkozy a rempli son rôle: celui de réussir à faire imposer la règle d’or sous le contrôle de la Commission Européenne et donc en clair, à institutionnaliser la censure, par Bruxelles, des budgets nationaux des États Européens!
La vraie cause de la dette – et je le martèle ici – ne tient pas du tout à l’économie nationale et à ses fluctuations, comme on veut le laisser croire, mais bien à la décision de Georges Pompidou de contraindre le pays à se financer sur les marchés extérieurs en privant la Banque de France de sa capacité de fluidification financière…
(On ne sort pas de la Banque Rothschild pour rien!…)
De ce fait la « dette nationale » actuelle est artificielle à plus de 80%!
Au milieu de toute la logorrhée de cet article, aller invoquer Pétain est particulièrement pitoyable!
Si vraiment ce texte est de Dupont – Aignant, et il y a urgence à l’avérer, il peut être sûr d’une chose: celle d’avoir réussi un coup de maître qui va le mette définitivement hors course pour ce qui est de gagner les voix des électeurs sensibilité souverainiste…
30 novembre 2011
Sarkozy veut toucher « Les intouchables »
http://louviers-2008.blogspot.com/2011/11/sarkozy-veut-toucher-les-intouchables.html
Le film « les intouchables » vient de dépasser aujourd’hui, le mur des 10 millions de spectateurs. Il est déjà classé parmi les 30 films français de toute l’histoire du cinéma national les plus regardés ! Je ne vous apprendrai rien en vous précisant qu’Omar Sy et François Cluzet y sont aussi authentiques qu’exceptionnels. Si j’évoque ce film c’est parce que je viens d’apprendre que Nicolas Sarkozy, président candidat, veut (va ?) rencontrer l’équipe du film, qu’il veut (va ?) certainement déjeuner avec les producteurs, les réalisateurs et les acteurs et qu’il veut (va ?) tenter de récupérer le succès du film en faisant étalage de ses bons sentiments.
Et pourtant, le personnage d’Omar Sy dans le film est celui d’un voyou de banlieue, membre d’une bande — que le Nicolas Sarkozy traitait de racaille — habituée à la fréquentation des halls d’immeubles que le même Sarkozy voulait nettoyer au Kärcher. Un voyou très sympathique, je m’empresse de le dire, qui justifierait — du point de vue de Sarkozy — qu’on lui décernât la Légion d’honneur ou le mérite national. Avec lui tout est possible, même le pire.
J’espère que le Omar de « Omar et Fred » ne va pas se laisser enfumer par le candidat Sarkozy dont le comportement, celui de son ministre Guéant ou du secrétaire général de l’UMP-copé, vont à l’inverse du propos du film. Que Sarkozy tente d’instrumentaliser le succès du film, c’est déjà énorme, mais que les acteurs se fassent avoir, ce serait indécent !
et bien NON,,,c »est FAUX de dire,que la dette c »est les délocalisations,,,
la crise, est financière a CAUSE de la dette et des intérets de cette dette
MAUVAISE gestions des politiciens de TOUT bords
pourtant;entourer d »experts,d »éconnomistes,de conseillers et hauts fonctionnaires,les politiciens de TOUT bords on RUINER les Français et mon ancien compagnons en a fait partie,,
1710 milliards et 57 milliards,les intérets,,premier budgets du pays,dette social,136.5 milliards,,,déficits extérieur,90 milliards,,,
l »état ,dés la crise aurait du faire,un plan d »économies,,,et gérer comme nous,,dans le priver
se sont les structures étatiques qu »il faut changer,,elle datte de 1945,,ou fonctionnaires et syndicats font la loi
et les politiciens n »ose pas s »y opposer pars lâcheté,,,
2012 sera un tournant pour notre pays et SEUL,vous ne péserez pas lourd
reste,la droite-nationnele,,,BORLOO DEBRE pense que le FN peut être au deuxième tours,,
du courage NDA,,,,prenez positions au second tours,,,
un fidéle de la DROITE molle qui va voter comme beaucoup de gens,Front Nationale,,
la trahison de Sarkozy va se payer dans les urnes
RENTABLE ….. MR LE PRÉSIDENT ???
A en juger par le dernier spectacle de TOULON ….. ,
les citoyens français ont le droit de poser cette question à :
Mr Le Président de la République ………..
» Êtes – vous, vous-même, rentable ?????? »
A force de prendre la majorité de vos décisions pour diriger la France auprès des éminents décideurs de Bruxelles, nous sommes aujourd’hui confrontés à un pouvoir qui a été « délocalisé » !!!!
Comme toutes nos entreprises qui ont été contraintes de se délocaliser pour retrouver de la rentabilité, leurs employés ont été purement et simplement licenciés et aujourd’hui considérés comme des chômeurs voyous et profiteurs du système.
Vous qui êtes venu nous annoncer qu’il fallait encore plus travailler ….. avez-vous licencié de ce fait vos propres employés et mis sur la paille nos chers ministres ???
Il est bien certain qu’ils n’ont pas été licenciés alors que la majorité des décisions concernant les orientations de la conduite de la France ne sont plus du ressort de notre Gouvernement parce que le modèle choisi offre des solutions clés en main, celles mises en place en Allemagne plus précisément.
Vous prenez vos ordres de conduite à tenir à Berlin.
Vous ne respectez pas les mesures d’écologie par rapport aux gaz à effet de serre avec tous vos déplacements et vos rassemblements à travers la France, générateurs de pollution.
Vous ne cessez de décourager les investisseurs et les créateurs d’entreprises en changeant continuellement les règles du jeu.
Un coup, je baisse la Tva, un coup je la remonte, un coup je propose des prêts à taux zéro, un coup je les supprime ……..
Croyez-vous très sincèrement que le pays va encore vous garder longtemps après que vous ayez mis notre belle France en faillite, ruiné nos protections sociales et nos outils de production ??????
Je suis en accord avec le fond de cet article, qui rappelle une partie des causes de notre dette et qui évoque des solutions pour amenuiser notre déficit. Mais je suis très agacé (c’est un euphémisme) par les outrances de la forme de ce papier: URSS, Maréchal Pétain, capitulation, chambre d’opérette! Nous revoilà dans les années 40!En tant que gaullistes, ne devons-nous pas privilégier d’abord l’entente franco-allemande, et la primauté du pouvoir éxécutif sur le législatif, surtout en tant de crise aigue? A éxagération, éxagération et demi: si vraiment la situation est ce qu’on dit, utilisons l’article 16 de la Constitution: lui au moins, il est prévu pour çà et il émane de notre pensée politique…