Dossier spécial « Sortie de l’euro »

 

 

Debout_La_Republique Il est aujourd’hui très clair que l’euro est une monnaie de banquiers, au service de la finance et non pas des peuples européens et de l’économie réelle.

C’est pourquoi il faut en sortir rapidement : retrouver notre liberté monétaire, investir dans le XXIème et gouverner conformément à nos intérêts.

Le discours porté par Debout la République et son président trouve désormais un réel écho populaire. Vous retrouverez sous cette page en téléchargement libre les deux nouveaux documents DLR.

Ils vous donnent les clés de la sortie de l’euro, vous expliquent pourquoi il faut en sortir, et pourquoi il est facile d’en sortir.

 

Questions & réponses sur la sortie de l’euro

 
Argumentaire sur la sortie de l’euro

3 commentaires sur Dossier spécial « Sortie de l’euro »

  1. Pierre Bellenger // 29 décembre 2010 à 19 h 33 min //

    Dénoncer l’Euro, c’est une étape, mais ne changera rien. Car, il faut le remplacer par une autre monnaie, et celle-ci sera assujettie au traité de Maastricht. C’est ce traité qu’il faut d’abord dénoncer, et tous ceux qui le recopient. Dupont-Aignan l’avait promis en Octobre 2009. Il le regrette, et pour rentrer dans le rang, il a trouvé la déviation, piège à ………… Pour qui nous prend-il ? Pierre.Bellenger@wanadoo.fr

    Je rappelle que pratiquement tous les gaullistes ont opté pour la pensée-Unique en se fondant dans la droite classique. C’était pourtant l’inverse de l’esprit du Général de Gaulle. Il faudra un jour expliquer par quelle contorsion intellectuelle les gaullistes veulent à la fois une chose et son contraire.

  2. Cessons d’organiser notre impuissance et protégeons notre économie !

    La surévaluation de l’euro n’est pas soutenable. Les Etats–Unis, la Chine, le Royaume-Uni soutiennent leurs exportations en favorisant la faiblesse de leur monnaie. Seule l’Allemagne, grâce à son économie exportatrice, reste insensible à un euro surévalué qui, loin d’être protecteur, ne fait que casser la compétitivité de nos productions. Les pays qui n’ont aucune exigence comparable à celle de la France dans les domaines sociaux et écologiques, tirent de ce défaut d’exigence un avantage commercial insupportable.
    Le libre échange et la soumission aux marchés financiers imposent de comprimer la rémunération du travail, de délocaliser, de diminuer les charges sociales ; en dépit des gains de productivité, la régression sociale est la seule politique de la droite. Cela contraint les Etats et les individus à un appauvrissement progressif et à un endettement dangereux.
    Par décision politique, l’euro doit retrouver sa valeur d’origine par rapport au dollar (en 2000, un euro valait moins d’un dollar). Pour éviter l’éclatement de la zone euro, l’euro devra cesser d’être la monnaie unique d’Etats aux économies trop inégales et doit se transformer en monnaie commune fluctuant à l’intérieur de la zone euro.
    La préférence communautaire doit être réactivée avec l’instauration par les pays de l’Union européenne de normes de qualité, de droit de douane et de taxes ciblées sur certaines productions. Il faut stabiliser l’économie internationale autour de zones socialement cohérentes. Les entreprises doivent exiger du pouvoir politique la protection de leur travail, le respect de leurs investissements et en mettant fin aux déréglementations et en créant des acteurs économiques publics puissants et pérennes.
    Gérard Pierre
    Secrétaire National du Mouvement Républicain et Citoyen

  3. Dommage d’avoir attendu 10 ans pour le comprendre!

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