Il y a 60 ans, Charles De Gaulle : Premier Président de la Vème République

 


De la 4e à la 5e République


12 mai 1958.Formation du gouvernement de Pierre Pflimlin.

13 mai.Soulèvement à Alger, occupation du Gouvernement général et création d’un Comité de salut public local.

28 mai. Les présidents des Assemblées et les chefs des partis, sauf les communistes, demandent un entretien au Général de Gaulle. Pierre Pflimlin donne sa démission.

1er juinAppelé par René Coty, Président de la République, et par l’opinion dans sa quasi-totalité, Charles de Gaulle est investi président du Conseil par 329 voix sur 553 votants à l’Assemblée nationale qui le charge d’uneréforme constitutionnelle soumise à référendumavant la fin de l’année.


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6 commentaires sur Il y a 60 ans, Charles De Gaulle : Premier Président de la Vème République

  1. La chienlie comme quelque grand débat : la France en danger , c’est clair .

  2. Je ne comprends pas l’idée exprimée par ce commentaire.

  3. Stop la honte et de déraisons . vive la France tout de même

  4. 60 ans après l’élection du Général à la présidence la France est de retour de façon exemplaire par la révolte des Gilets jaunes, cette France invisible et humiliée qui prend une revanche bien méritée.
    La différence est qu’il y une voix profondément Gaulliste, pour traduire politiquement cette France patriotique qui chante la Marseillaise, en la personnalité d’un des très rare hommes politiques authentique, sincère, cohérent dans son parcours et son discours depuis 2007 :
    Monsieur Nicolas Dupont-Aignan !

  5. Un nouveau De Gaulle ne rêvons pas ! un ersatz sans doute ! Le moins mauvais serait sans doute NDA c’est bien l’un des derniers qui sait encore ce que souveraineté veut dire …

  6. 60 ans après l’élection du Général à la présidence la France est de retour de façon exemplaire par la révolte des Gilets jaunes, cette France invisible et humiliée qui prend une revanche bien méritée.
    La différence est qu’il n’y a pas de De Gaulle pour traduire politiquement cette France-là patriotique qui chante la Marseillaise que notre dirigeante vilipendait.

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