Communiqué de presse de Julien Aubert (‘Oser la France’)

Julien Aubert, député de Vaucluse, associé de plusieurs de ses collègues LR ont adressé aujourd’hui un courrier au procureur de la République afin qu’il se saisisse de l’ « affaire Benalla ». Selon eux, la vidéo montrant un proche collaborateur du président de la République, Monsieur Alexandre Benalla, vêtu des vêtements de policier en train de frapper un homme à l’occasion des manifestations du 1er mai, les « choque et sidère les Français ».

Julien Aubert réagit à cette affaire et fustige la ridicule sanction ayant suspendu Monsieur Benalla de ses fonctions pour 15 jours, en totale déconnexion avec la gravité des faits qui lui sont reprochés. De plus, il estime qu’en ne transmettant pas ces informations à la justice alors qu’il en avait connaissance, le secrétaire général de l’Elysée et le directeur de cabinet du Président ont manqué aux obligations qui leur incombent en vertu de l’article 40 du code de procédure pénale. Pour Julien Aubert, « ce manquement est une faute, il ne peut y avoir deux justices : une pour le peuple, et une protégée au plus haut sommet de l’Etat ».

l’Élysée dans la tourmente, la police des polices saisie

Si la presse a indiqué que le parquet de paris aurait ouvert une enquête préliminaire, « les conditions ni l’auteur de la saisine n’ont été précisés ». C’est donc aux termes de ce même article 40 du code de procédure pénale que Julien Aubert et ses collègues ont adressé, en leur qualité de « députés de la Nation », ce courrier à Monsieur François Molins, procureur de la République.

 Lettre de Julien Aubert

Emmanuel Macron et Alexandre Benalla : On s’amuse !!!

8 commentaires sur Communiqué de presse de Julien Aubert (‘Oser la France’)

  1. Gilles Le dorner 77 // 29 juillet 2018 à 20 h 02 min //

    Et sur un autre registre qui n est pas facile certes et dépasse le nombre de lettres et de ce seul registre là espérer

  2. Gilles Le dorner 77 // 29 juillet 2018 à 19 h 32 min //

    En trois lettres ce n’ est pas respectueux et avec pauvre devant non plus . En cinq lettres ça soulage parfois . Sur un autre registre c est un beau nom liberté il en est un autre en indépendance celui de justice non pas vengeresse simplement justice qui suit son cours . Quant aux cabinet noir ou autres Foucher ou mailles parallèles nommées peut être de façon inexacte barbouzes ou hommes de main ou connivences il y en a eu et il y en a au sens de rats ou de coquins au sens de rats ou rapieres . Il reste un garde fou c est la Constitution .

  3. OK avec ce commentaire

  4. Il serait préférable qu’on ne dise pas n’importe quoi dans les commentaires. Les barbouzes étaient les HEROS GAULLIENS qui démantelaient les réseaux des TERRORISTES de l’OAS et du FLN qui ASSINAIENT dans la métropole! Le rapport avev M. Lahcene Benahlia?????? Mon pauvre Ponchardier, vous devez vous retourner dans la tombe.

  5. Gilles Le dorner 77 // 27 juillet 2018 à 22 h 46 min //

    Coluche on pouvait en rire et puis aussi donner . De Z ou autres relents barbouzes on pouvait réfléchir à choisir . Mais là au plus près du regalien c est la limite en nausée

  6. Bon, selon des pratiques anciennes, le Roi fait ce qu’il veut en sa République bananière et ses valets en profitent !!!! Reste à savoir quelle sera la sortie de cette mauvaise image d' »un chérubin du Palais » accompagné de « séraphins » foireux et détestables !!!!Car pour avoir lanterné aussi longtemps à considérer les faits comme pouvant être sanctionnés « le Chérubin du Palais » démontre qu’il se fout de nous !!!!!

  7. Quand Elysée et consorts imposent leur loi

    L’image de la « République en Marche » (LREM), c’est plutôt marche arrière toute et l’antithèse des libertés fondamentales guidant le peuple, pourtant garanties par notre Constitution gaullienne née il y a 60 ans.
    Au moment où la majorité de la LREM, qui représente qu’une portion du peuple, s’attaque à réviser notre Constitution, l’affaire A. B. et consorts prouve que le pouvoir exécutif n’est plus en mesure de garantir aux Français les libertés fondamentales, puisqu’il va jusqu’à accorder un blanc- seing à ses hommes de main qui abusent de leurs prérogatives pour faire le coup de poing lors d’un défilé du 1 mai, censé être celui de la fête du travail. (On se demande d’ailleurs pourquoi une révision constitutionnelle puisque la loi applicable n’est plus celle de notre Constitution mais celle de la garde rapprochée de l’Elysée en mission commando).
    Mais Il y plus grave que les faits. Tout compte fait, les casseurs se trouvent des deux côtés de la barrière. Qu’elle image lamentable de cette République prétendument « inaltérable » de Macron, vantée jusque dans nos quartiers dits « sensibles » !
    L’Elysée et le pouvoir central au sens large ne sont plus crédibles dans ces conditions et toutes les excuses possibles et inimaginables ne passent plus car l’opinion croit de moins en moins aux discours. Voilà un résultat déplorable pour une République qui se devait d’être irréprochable !
    Toujours aussi grave, c’est que les Français se détachent de la vie politique, deviennent sourds aux explications y compris pédagogiques venues du pouvoir pour expliquer ses réformes (Par exemple sur les 80 km/h sur les routes cet été et à l’étude devant le Conseil d’Etat.)
    Les Français spectateurs se contentent placidement de regarder un mauvais feuilleton sur fond musical de « champ du départ » en attendant la suite lors du prochain épisode.
    Dans ces conditions, l’image d’un Président Macron, cool et sympa dans les tribunes lors de la finale de la coupe du monde de football de 2018 ne cadre plus avec les réalités sombres du pouvoir. Il est rattrapé par son passé.
    La politique spectacle à l’américaine prend le devant de la scène hélas, alors que l’on réclame d’un Président élu, qu’il incarne le pouvoir et la probité ; pas celui d’un comédien qui doit faire son show, payé pour nous jouer une comédie.
    Minable ! Tout simplement minable pour une France qui mérite mieux !
    Pour ceux qui nous toujours pas pris la mesure des événements, le bateau France a une très grosse avarie et que si elle n’est pas colmatée, il sera vite temps de mettre les chaloupes à la mer pour sauver nos âmes.
    René Floureux 20.7.2018

  8. Jean-Dominique Gladieu // 20 juillet 2018 à 14 h 11 min //

    Cette affaire soulève quelques questions :

    1) Les faits remonte au 1er mai. Pourtant Ils n’ont été rendus publics que le 18 juin soit plus de 2 mois 1/2 après.
    POURQUOI ?

    2) A. Benalla a été mis à pied du 4 au 19 mai. Cela signifie que ses supérieurs savaient quasiment d’emblée. On vient d’apprendre par ailleurs que dès le 2 mai le Ministre de l’Intérieur était au courant.
    COMMENT SE FAIT-IL QUE LA JUSTICE N’AIT PAS ETE IMMEDIATEMENT SAISIE COMME L’EXIGE POURTANT L’ARTICLE 40 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ?

    3)Visiblement A. Benalla se trouvait sur place en tant qu’observateur. Ce qui en soi n’a rien d’anormal. Il est en effet d’usage que des professionnels de la sécurité soient autorisés à assister « de l’intérieur » à des opérations de maintien de l’ordre. Mais, ils ne peuvent en aucun cas y participer directement.
    COMMENT SE FAIT-IL, DANS CES CONDITIONS, QUE LES VERITABLES POLICIERS QUI L’ENTOURAIENT NE SOIENT PAS INTERVENUS LORSQU’IL A COMMIS CES EXACTIONS ?

    4) Il semblerait qu’A. Benalla n’en soit pas à son coup d’essai. Il aurait récemment tenté d’équiper l’équipe de sécurité qu’il dirigeait de flashballs et autres armes diverses. Sans parler d’autres cas de violences où son nom apparaît.
    COMMENT SE FAIT-IL QU’IL AIT ETE MAINTENU DANS SES FONCTIONS MALGRE UN TEL ETAT D’EXCITATION ?

    5) Du temps (très court) où il a été chauffeur personnel d’Arnaud Montebourg, Ministre du redressement productif sous Hollande, il a provoqué (certes involontairement)un accident de la circulation et a essayé de prendre la fuite (à la suite quoi A. Montebourg a décidé de se séparer de lui).
    MEME QUESTION QUE PRECEDEMMENT : POURQUOI N’A-T-IL PAS PUREMENT ET SIMPLEMENT ETE RENVOYE DANS SES FOYERS ?

    6)
    NE DEVRAIT-ON PAS EGALEMENT NOUS INTERROGER SUR LE PS AU SEIN DUQUEL A. BENALLA ETAIT L’UN DES CHEFS DU SERVICE D’ORDRE ?

    7)
    Il nous a été « seriné », lors de l’entre-deux tours de l’élection présidentielle 2017, qu’il fallait « faire barrage à l’extrême-droite » et voter Macron.
    MAIS A. BENALLA NE SE COMPORTE-T-IL PAS LUI-MEME COMME UN VULGAIRE NERVIS D’EXTREME-DROITE ?

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