La CSG : +1.7 points

Emmanuel Macron s’apprête à augmenter massivement la CSG (+1,7 point la CSG) pour tous les foyers dont les revenus annuels sont supérieurs à 14.375 euros pour un célibataire ou 22.051 euros pour un couple.

Après cinq années de matraquage fiscal, les Français et notamment ceux issus des classes moyennes espéraient une pause. Malheureusement, les premières mesures annoncées laissent présager du contraire.

Les retraités seront les principales victimes fiscales du nouveau Président. Ils ne seront sans doute pas les seules.

Pour Emmanuel Macron, on est riche dès que l’on gagne 1197,91 euros par mois, quand on est retraité.

Pendant la campagne présidentielle, le candidat Macron a maintenu le flou sur sa proposition. Il a même affirmé que « tout le monde gagne en pouvoir d’achat avec cette mesure, sauf les plus aisés des retraités ». Sic ! Or, les retraités, célibataires ou veufs, qui gagnent plus de 1198 euros seront taxés de plein fouet par cette augmentation.

Est-on réellement « aisé » quand on gagne moins de 1200 euros par mois ?

François Hollande déclarait de façon caricaturale que l’on est riche quand on gagne 3 000 euros par mois, Emmanuel Macron vient de le surpasser dans la mauvaise foi !!!

La CSG Macron frappera entre 60 % des retraités (chiffres avancés par Emmanuel Macron) et 80 % d’entre-eux (d’après plusieurs médias spécialisés).

D’autres français menacés !

Les travailleurs qui ne paient pas de cotisation maladie ou chômage, ce qui est le cas, notamment, des indépendants ou des fonctionnaires, pourraient eux aussi faire les frais de cette hausse de CSG sans bénéficier de la suppression de cotisations.

Parce que la baisse de la fiscalité doit être une priorité,

Parce que je refuse la « CSG Macron »,

je vous demande Monsieur le Président de la République de renoncer à la hausse et à l’élargissement de l’assiette de la CSG. 

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20 commentaires sur La CSG : +1.7 points

  1. Les apprentis sorciers des finances sont de nouveau en marche avec un seul enjeu faire ce que les autres n’ont pas fait et non faire pour progresser. Bref faire et défaire guide leurs pas…comme pour les autres avant eux. La question primordiale est de savoir si avec le même niveau de fric collecté (Impôts, Taxes, TVA, CSG, charges sociales etc.) on fait mieux pour le plus grand nombre voire même s’il est possible ici où là de faire mieux avec moins de collecte?
    Aucun politicard en marche ne sachant où il va ne s’engagera sur ce chemin de progrès, électoralement trop risqué !!Alors les apprentis sorciers vont défaire et refaire à tous les niveaux de manière à ce que tout soit illisible pour la majorité des électrices ou électeurs.
    Faire et défaire c’est toujours faire quelque chose avec un politicard au service de la malhonnêteté intellectuelle et non du progrès maitrisé.

  2. @ Romano

    Je comprends votre logique d’élu local que vous venez de traduire très concrètement dans les faits surtout lorsqu’il s’agit du vote du budget. De votre point de vue vous n’avez pas tort.

    Mais je me plaçais résolument dans la logique du citoyen lambda en perpétuelle lutte pour la préservation de son pouvoir d’achat, grignoté par ses contributions aux diverses taxes et impôts.
    Il est pris en tenaille puis broyé entre la logique financière de l’élu local et celle de l’Etat que je qualifie de sournoise dans le contexte précis de l’augmentation de la CSG voulu par E.Macron.
    Je n’aborde pas la question de la compétence générale pour les communes, ou de celles prévues par les lois, ni des pouvoirs de police propres du maire générateurs de dépenses et de recettes.

    Tout peut partir de bonnes intentions entre Paris et la province avec comme point commun, la recherche de l’intérêt général, du moins proclamée.

    Lorsqu’il y a transferts de compétences au nom d’une plus grande démocratie locale, il doit y avoir transferts des dotations correspondantes pour assurer l’équilibre budgétaire des collectivités locales.
    Cette corrélation n’est pas respectée à la lettre et les élus s’en plaignent à juste titre surtout en cette période de crise économique et sociale qui exige toujours plus de solidarité.

    Si ce n’est pas le cas, il n’y a pas évidemment trente -six solutions pour l’élu local pour faire face à son manque de recettes : mettre un frein à la folie des grandeurs, réduire les frais de fonctionnement, augmenter la fiscalité locale, faire des emprunts ; malheureusement pour certains toxiques, qui peuvent clouer une commune sur le carreau, au point qu’elle soit obligée de faire appel à des experts financiers pour se redresser, puis à se soumettre éventuellement au contrôle permanent d’une agence de notation qui va publier ses comptes au grand jour.

    Et c’est à ce stade que je mets en cause la sournoiserie de l’Etat. C’est en effet trop facile pour le pouvoir central en place de proclamer sur un plan de marketing politique, avant une consultation nationale majeure comme les législatives, que les Français vont être gagnants grâce à sa politique sociale et fiscale généreuse, alors qu’il sait pertinemment que sans transferts financiers correspondants, les élus seront pris à la gorge. Le maigre gain obtenu par l’Etat sera repris de l’autre à l’échelon local tant est si bien qu’à un moment donné, le citoyen pris à la gorge vendra son bien immobilier pour dégager hors de sa commune et pour sauver ses meubles.

    L’intérêt tactique du Président E. Macron, consiste à décongestionner la machine pour qu’elle redémarre, quelques soient les moyens employés, même s’ils relèvent d’abord d’un joli feu d’artifice. Il ne s’attaque pas au taux de la TVA (pas pour l’instant du moins) qui a pour effet de freiner la consommation et réduire les carnets de commande car la propension à consommer représente une part importante pour les bas revenus des classes pauvres et moyennes, majoritaires dans ce pays.
    Quant à la propension à épargner en fonction de votre revenu disponible après prélèvement de l’impôt, certains de vos placements seront à leur tour soumis à la CSG. C’est du racket même si les ponctions s’appuient sur des textes légaux.

    Comme pour les jeux du hasard il y a beaucoup de perdants et peu de gagnants dans cette loterie nationale.

    RF 7.6.2017

  3. Les apprentis sorciers sont de nouveau en marche…;beaucoup de promesses clientélistes qui nous éloignent encore un peu plus d’un retour à l’équilibre des comptes de la Nation. D’autant que Hollande et Sapin ont laissé en 2017 une ardoise calamiteuse dénoncée par la Cour des comptes. Edouard repoussera la date du Prélèvement à source pour que sur les fiches de paie l’illusion d’avoir gagné plus pour certains salariés fasse son apparition. Et les « moutons euphoriques » sauteront dans le vide en marche les 11 et 18 Juin 2017 !

  4. Edmond Romano // 6 juin 2017 à 12 h 04 min //

    Cher René Flourieux, vous écrivez « . Mais chacun sait par expérience que le principe des vases communicants en mécanique des fluides s’applique merveilleusement bien en matière fiscale. Les élus locaux s’efforceront de vous faire payer à leur manière ce cadeau empoisonné. »
    Accepteriez-vous que demain le maire de votre commune supprime les travaux sur les routes communales, qu »il décide de ne plus rénover les équipements sportifs et culturels, qu’il n’entretienne plus les espaces publics? Je suppose que non. Quand on prévoit des investissements, on compte sur des recettes et, pour ma part, on le fait en évitant d’avoir recours à l’augmentation des impôts locaux. Je ne suis pas fan non plus des emprunts qui grèvent l’avenir. Mais quand coup sur coup l’Etat baisse de façon drastique les dotations et que, de surcroit, on nous annonce une diminution de nous recettes par la suppression de la taxe d’habitation: comment faire face aux dépenses engagées? Je ne parle même pas des investissements futurs gravement hypothéqués mais seulement des travaux réalisés et qui restent à payer. Voyez-vous, cher ami, je sais qu’il est de très bon ton de s’en prendre aux élus locaux (ceux qui coûtent le moins cher à la démocratie et qui travaillent le plus) mais il y a des limites. Je vous donne un exemple concret: une partie de l’activité économique de ma commune est basée sur le tourisme, étant dans une zone de pastoralisme je suis confronté au problème de la réintroduction du loup. Les éleveurs pour défendre leurs troupeaux ont pris des chiens les patous mais ces chiens attaquent les promeneurs qui se rapprochent des troupeaux. Moralité afin d’éviter les accidents je me vois contraint d’interdire par arrêté municipal les chemins de randonnée et de me priver des recettes fiscales induites par la présence des touristes. Les commerçant râlent après le maire (ce qui est de bonne guerre) sans se rendre compte que c’est une politique nationale absurde qui me contraint. Par contre la député socialiste qui n’a rien fait durant son mandat pour nous aider à résoudre ce problème trouve grâce à leurs yeux! Je ne parle même pas du candidat « En Marche » qui lui ne sait même pas reconnaître un mouton d’une brebis.

  5. Michel Chailloleau // 5 juin 2017 à 12 h 03 min //

    La suppression de la taxe d’habitation est plus qu’un leurre, c’est un mensonge. Un de plus car Mr Macron et son gouvernement reconnaissent après la publication par un quotidien parisien d’un article sur la réforme de la loi Travail par Ordonnances, qu’ils avaient oublié d’en préciser plusieurs points importants aussi bien dans le programme présidentiel, que lors des entretiens avec les partenaires sociaux, les syndicats CGT et FO notamment. Funeste oubli! pour un gouvernement qui veut faire passer une loi sur la moralisation de la politique et qui a déjà un grand nombre d’affaires de mensonges, de faux documents, etc…..Le rassemblement de TOUS les Français est indispensable pour faire échec à ces projets anti-sociaux. Il ne doit pas y avoir d’exclusion sauf pour les défenseurs du mouvement En Marche. J’ai vu que le site de Debout la France ne figure plus dans les sites gaullistes depuis quelques jours. C’est dommage.

  6. Comme vous avez raison. Elu local également, sa proposition devient un casse-tête pour les prochains budgets…

  7. Edmond Romano // 4 juin 2017 à 11 h 10 min //

    La suppression de la taxe d’habitation pour 80% des Français est un leurre total!
    En effet, à peu près 50% des ménages ne la paient déjà pas donc cette mesure ne concerne que 30% des ménages qui viendront s’y ajouter. Ensuite, l’Etat promet une compensation pour les communes. Quand on sait le sort réservé aux compensations de l’Etat nous avons du souci à nous faire très bien la première année, moins bien la seconde et catastrophique à partir de la troisième. Cette mesure ajoutée aux baisses de dotation va ruiner les finances locales. De plus, on ne parle en aucun moment des révisions de la compensation c’est à dire celle-ci sera calculé l’année X mais qu’en sera-t-il l’année X+1 si des personnes viennent s’installer sur la commune? Sera-t-elle fixe ou révisable? C’est le flou complet.
    La seule chose que nous savons c’est que les besoins des habitants ne sont, eux, pas fixes. Que l’entretien des bâtiments, des routes, des complexes sportifs, des écoles coûtent de plus en plus cher et qu’il nous faudra bien trouver l’argent quelque part. Devinez où? L’autre solution étant de diminuer les services apportés à nos concitoyens. Et qui seront rendus responsables? Une fois de plus les élus locaux qui ne font que subir les décisions des responsables politiques nationaux. Qui protestera au Parlement? Personne puisqu’il n’y aura plus un seul maire à l’Assemblée Nationale ou au Sénat. Aux prochaines municipales, croyez-moi, il va être difficile de trouver des candidats!

  8. Une claque de bienvenue

    Un article publié par ‘Gaullisme.fr’ nous annonce qu’Emmanuel Macron s’apprête à augmenter massivement la CSG (Contribution sociale généralisée) de 1.7% (Si ce n’est pas plus!) à partir de 1198 euros par mois, seuil d’aisance pour un retraité, alors que F.Hollande considérait il y a peu qu’on est riche à partir d’un revenu mensuel de 4000 euros nets.

    Chacun pourra comparer, par rapport aux montants sus-indiqués, celui par exemple de la personne qui perçoit, ce 1er avril, le minimum vieillesse qui est de 803 euros, ou le smic à hauteur de 1140 euros en net, à raison de 35 heures de travail par semaine.
    Vous avez également ce chiffre hallucinant de moins de 354 euros par mois pour un agriculteur sur trois.

    60 % des retraités (9 millions) seraient visés par cette mesure, mais ne seraient pas les seuls, puisque l’intérêt de l’Etat grâce aux études de projections, consiste à étendre le plus largement possible la base des assujettis aux prélèvements obligatoires en évitant de les étouffer pour ne pas enrayer l’activité économique, jusqu’à inclure les petits épargnants.
    Il fait le constat que l’impôt sur le revenu est moins rentable que la CSG puisqu’il ne concerne que 45% des foyers fiscaux (17 millions) pour 70 milliards de rentrées fiscales par an, contre 90 milliards pour la CSG qui elle, concerne pratiquement tous les revenus d’activité, de remplacement, de patrimoine, ou de placement.

    En relisant la profession de foi du candidat En marche E. Macron on y lit qu’il veut donner à chacun la possibilité de bien vivre de son travail. Concrètement en supprimant les cotisations chômage et de maladie en contrepartie d’une hausse de la CSG, un smicard gagnerait ainsi mécaniquement 21 euros nets de plus par mois (- 3.15 et + 1.7 %).

    Notre Président de la République, favorable à cette hausse de la CSG et qui considère que vous êtes aisé à partir de 1198 euros par mois, perçoit lui un traitement net mensuel autour de 15 000 euros pour n’évoquer que ce seul chiffre le concernant. Il ne risque pas de suicider pour ses fins de mois difficiles.

    je note également que la CSG créée par M.Rocard en 1990 pour financer provisoirement la protection sociale est devenu un fourre-tout bien commode permettant à ses successeurs de tirer toujours plus sur la corde avec même l’instauration de la CRDS (contribution pour le remboursement de la dette sociale). Les taux de prélèvements obligatoires augmentent continuellement (de 1.1% le taux passe à 7.5% en 1998) ainsi que la masse financière. Le matraquage continu pour un effet de levier individuel tellement dérisoire qu’on se demande pourquoi se tuer à la tâche. Si les effets multiplicateurs enclenchaient une véritable dynamique sur le plan macroéconomique, ils profiteraient d’abord à l’Etat avant les contribuables éventuellement, au sens large. L’indice de confiance des ménages et des entreprises seront de précieux indicateurs.

    Partant de ces constats, tous les Français demandent à voir la suite des événements lorsque le gouvernement rentrera véritablement dans le dur avec le vote de la future loi de finances car pour l’instant nous n’en sommes qu’aux berceuses pour les petits.
    E. Macron a promis la suppression progressive de la taxe d’habitation entre 2018 et 2O20. Il faudra donc patienter et rien n’est acquis. Mais chacun sait par expérience que le principe des vases communicants en mécanique des fluides s’applique merveilleusement bien en matière fiscale. Les élus locaux s’efforceront de vous faire payer à leur manière ce cadeau empoisonné.

    Vous allez me dire que tout cela c’est du populisme. Personnellement j’appelle un chat un chat et il ne faudrait tout de même pas prendre les Français du coin comme des nigauds ne sachant pas faire la différence entre une lanterne et une vessie !

    Avant de comprendre les fables, les pauvres gens apprenaient d’abord par compter.

    René Floureux 3.6.2017

  9. Jean-Dominique GLADIEU // 3 juin 2017 à 14 h 19 min //

    D’accord avec Michel Chailloleau : il faut faire jouer le TSM (Tout Sauf Macron) !

  10. Edmond Romano // 3 juin 2017 à 14 h 03 min //

    Les élections présidentielles sont derrière nous, nous avions tous choisi un candidat au premier tour qui nous semblait proche de nos idées et dont le programme nous convenait. Au second tour, ceux qui n’avaient plus le choix ont choisi soit de voter Macron, soit Le Pen soit de voter banc ou nul, soit de s’abstenir. Ce combat est fini, nous avons un Président de la République qui même mal élu a l’onction du Suffrage Universel. C’est la jeu démocratique et c’est la règle voulue par le Général en 1962. Nous autres, gaullistes, ne pouvons qu’admettre ce choix d’une majorité (non pas d’électeurs mais de suffrages exprimés). Le jeu tacticien qui en son temps a fait que Jospin a inversé le calendrier électoral et transformé le septennat en quinquennat laisse, avouons-le, peu d’espace pour opposer une autre majorité au Président de la République. Faut-il le regretter? oui. Faut-il passer cinq ans à se lamenter? non. D’autres élections viendront, d’autres combats seront conduits avec plus de réussite. La refondation du paysage politique sera inévitable. L’état lamentable dans lequel va être le PS, tout comme « Les Républicains » au sortir de ces échéances ne laissera le choix ni aux uns, ni aux autres. A nous de saisir l’occasion de faire entendre un projet. Après tout, les deux partis que je cite étaient bouffis de contradictions alors au lieu de nous lamenter, réjouissons-nous. Les choses seront plus claires dans l’avenir.

  11. Michel Chailloleau // 3 juin 2017 à 10 h 35 min //

    bien qu’ayant plus de 60 ans largement, je n’ai pas voté macron au 1er tour car il y avait un candidat gaulliste, et au 2éme: les deux bulletins déchirés en deux dans la même enveloppe ce qui veut dire m….! Il faut arrêter ces accusations et regrouper TOUS les Français de bonne volonté, sans jeter l’opprobre sur certains, pour combattre le gouvernement qui s’apprête dès le mois de Septembre à attaquer, voire supprimer un grand nombre d’articles du Code du Travail!!!!!!Il ne faut pas se tromper de cible aux législatives.

  12. Edmond Romano // 3 juin 2017 à 7 h 50 min //

    Une fois de plus, et je suis d’accord avec jacques Payen sur ce point, beaucoup d’électeurs se sont prononcés sans prendre en compte la réalité du programme des candidats.
    Il faut avouer que durant cette campagne présidentielle le débat de fond a été occulté par le débat sur les personnes.
    Je pense que ceci a été voulu par le monde médiatique qui avait choisi « son champion » et qui a tout fait pour l’imposer aux électeurs.
    Je ne doute pas que, dans peu de temps, lesdits électeurs regretteront amèrement leur choix.
    Mais, comme pour Donald Trump, il ne faut pas s’offusquer qu’un candidat, une fois élu, mette son projet à exécution. Ceci me fait penser aux catholiques qui ont voté Hollande en 2012 et qui, ensuite, ont manifesté contre le mariage pour tous! Il nous reste deux semaines pour rectifier le tir (bien que je sois sur ce point fort incrédule). Les remontés du terrain (et non les sondages manipulés) me semblent annoncer une victoire du parti présidentiel aux législatives. Nous subirons cette situation durant cinq ans. Cinq années longues et courtes à la fois où nous aurons pour mission, grâce à l’heureuse initiative de notre ami Alain Kerhervé, de prouver aux Français que la voie du Gaullisme peut-être une alternative réelle et réaliste à l’ultra libéralisme qui s’annonce. Nous paierons le prix fort? Oui certainement, mais nous paierons ce prix car nous n’avons pas été capables de nous rassembler. Paraphrasant la Fontaine, je dirai: « la leçon vaut bien un Macron sans doute ».

  13. GIRAUD André. // 2 juin 2017 à 20 h 06 min //

    C’est vrai qu’il fallait s’y attendre !…
    Mais beaucoup ont fait comme moi. Entre deux maux, ils ont choisi le « moins-pire » !…
    C’était la fasciste, ou le capitalisme…
    On est mal barré. (Au sens propre comme au figuré).
    Et a mon avis, ce n’est que le début !. Il va falloir remonter sur les barricades. Mais les « jeunes » n’ont plus la pèche que l’on a eu en Mai 68…
    Et c’est bien connu, on est trop divisé. Ce qui leur permet de bien régner…
    Qui-plus-est, il y a une minorité de VRAIS Français. Ce n’est pas les migrants qui vont se plaindre !!!…
    Bon courage aux jeunes.

  14. JEAN-PAUL DELAISSE // 2 juin 2017 à 17 h 01 min //

    @ Jacques Payen
    « …75 % des plus de 60 ans ont voté pour le candidat libéral-mondialiste…. »
    sauf les gaullistes, cher camarade !

  15. Jean-Dominique GLADIEU // 2 juin 2017 à 15 h 08 min //

    Encore une fois, je suis d’accord avec vous cher Edmond Romano : partout il faut faire barrage au « macronisme » … quitte à voter pour des candidats auxquels on n’adhère pas forcément aux idées. Il faut avoir conscience des urgences et des priorités.
    Salutations amicales à tous.

  16. Jacques Payen // 2 juin 2017 à 14 h 09 min //

    1/ 75 % des plus de 60 ans ont voté pour le candidat libéral-mondialiste.

    2/ Qu’ils ne viennent donc pas râler, car la mesure était dans le programme.

    3/ C’est le prix à payer pour leur vote vertueux. Ils devraient en être flattés. N’ont-ils pas terrassé « la bête immonde » ?

  17. Delaisse Jean-Paul // 2 juin 2017 à 12 h 20 min //

    Il est d’une rare évidence que les retraités vont prendre ça en plein….g…!! d’autant plus que pour eux, les retraites sont figées complètement depuis…je ne m’en rappelle même plus.
    Un élément de plus pour la diminution constante de leur pouvoir d’achat, quand on sait que ces « nantis » n’ont plus que dépenser à penser, pour eux ou pour leurs proches…enfin quand ils gagnent plus que la limité instaurée par Macron et ses têtes « pensantes ».

  18. Edmond Romano // 2 juin 2017 à 11 h 02 min //

    D’où l’absolue nécessité de ne pas donné de majorité parlementaire absolue au Président de la République.

  19. Michel Chailloleau // 2 juin 2017 à 10 h 17 min //

    Cette hausse n’est pas vraiment une surprise car elle figurait dans le programme de Macron( pour 1,50% seulement mais……)C’est pour cela qu’il faut faire barrage aux élections législatives au mouvement qui soutient le président et le gouvernement.

  20. Jean-Dominique GLADIEU // 2 juin 2017 à 8 h 59 min //

    Si j’ai bien compris, dans cette affaire, moins on gagne et plus on est impacté part la hausse de la CSG !
    Naguère, le fascisme était l’ultime recours du capitalisme, aujourd’hui c’est le prétendu « anti-fascisme » qui est l’ultime recours du capitalisme (pardon, de l’utra-libéralisme … car il n’est de bon ton de dénoncer le capitalisme !).
    Ceci dit, nul n’était forcé de voter Macron !

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