Debout la France

Une journée porteuse d’avenir meilleur pour la France. Cette vidéo est longue, mais elle révèle ce qui ne va plus dans cette France que nous chérissons tous. Cette vidéo est longue, mais elle nous montre un Nicolas Dupont-Aignan qui nous livre son cœur et sa vision de la France en 2050. Un discours assis sur le gaullisme qui a enthousiasmé les 1500 militants présents à Paris ce 2 octobre 2016.

vidéo

Après les interventions publiques de Jérôme Kerviel, Philippe Pascot et Stéphanie Gibaud, Nicolas Dupont-Aignan a dessiné sa vision de la France à l’horizon 2050 et dévoilé les premières mesures de son programme présidentiel ordonnées autour de 4 grands axes

Relocaliser un million d’emplois en aidant les entreprises qui investissent en France

1. Réduire de moitié l’impôt sur les bénéfices réinvestis sur le sol français ;
2. Supprimer la directive « travailleurs détachés » ;
3. Simplifier la vie des TPE/PME avec l’engagement de zéro nouvelle taxe, zéro nouvelle norme durant le quinquennat et le remplacement du RSI ;
4. Accroître l’effort de Recherche privée et publique, pour atteindre 3% du PIB et faire de la France le paradis des chercheurs ;

Récompenser le travail et le mérite par la relance du pouvoir d’achat

5. Augmenter de 100 euros par mois les pensions de 6 millions de retraités, financé par la réaffectation des 8 milliards de contribution nette au budget de l’UE ;
6. Revaloriser les salaires nets de 10 %, sans peser sur l’entreprise, par la baisse des charges salariales de 30 % (40 milliards) financée par la lutte contre la grande fraude fiscale à la TVA et les abus de l’assistanat ;
7. Encourager l’accession sociale à la propriété, en proposant aux locataires du parc social un contrat de location accession leur permettant de transformer leur loyer mensuel en mensualités de remboursement ;
8. Rebâtir l’Ecole de la République en privilégiant l’apprentissage des savoirs fondamentaux, notamment le français et le récit national, et en abrogeant la réforme du collège comme celle des rythmes scolaires.

Remettre de l’ordre

9. Rétablir les frontières nationales et expulser les délinquants étrangers ;
10. Abroger les lois Dati et Taubira et créer 40 000 places de prison supplémentaires ;
11. Conditionner l’ouverture des mosquées à la signature et au respect d’un contrat en six points entre les imams et la République ;

Rendre le pouvoir aux Français et nettoyer la vie politique

12. Renégocier l’ensemble des traités européens pour bâtir l’Europe des Nations libres et des coopérations autour de projets concrets ;
13. Consulter le peuple par référendums sur les questions fondamentales ;
14. Obliger tout candidat à un mandat électif à avoir un casier judiciaire vierge ;
15. Réduire le nombre de parlementaires et supprimer le Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) ;

19 commentaires sur Debout la France

  1. Edmond Romano // 14 octobre 2016 à 11 h 28 min //

    Toujours à propos du référendum et du respect de son résultat: j’ai été stupéfait, hier au soir, d’entendre dire par Nicolas Sarkozy que le recours au référendum pour avaliser un traité était une erreur (en substance bien sûr) et que le peuple ne pouvait répondre qu’à une question simple par « oui » ou « non ». Quel mépris pour les citoyens! A ses yeux il semble que nous soyons des ignares!

  2. A Alain Kerhervé.. de deux choses l’une, où on suit ce que j’ai exprimé ici même e tailleurs : »Certes un autre aspect de cette bonne gouvernance démocratique ,pour examiner la justesse de certaines propositions recalées susceptibles de ne pas être abandonnées et pouvant compléter le programme majoritaire mettre en oeuvre ne peut s’envisager (selon moi encore) qu’à l’issue d’une concertation éclairée que le gouvernement nouvellement chargé des affaires doit initier, explorer et expliquer au peuple tout entier . Comme on est très loin de ces pratiques éclairées …à chacun de à chacun de choisir la formule. » Mais une formule ancestrale demeurera quelque soit l’inclinaison : on ne fait pas des chiens avec des chats !

  3. Un bémol tout de même. Au deuxième tour, voter pour un des deux candidats n’est pas obligatoirement accepter tout son programme.Le référendum devient alors nécessaire pour qu’une majorité (pas obligatoirement celle présidentielle) se dégage pour accepter une réforme importante.

  4. Edmond Romano // 11 octobre 2016 à 19 h 55 min //

    Le candidat élu au second tour de la Présidentielle doit réunir 50% + 1 voix. C’est le principe même de la démocratie et il devient le Président de tous les Français. Il est élu sur un programme, il reçoit donc mandat pour l’appliquer. Les choses deviennent plus compliquées quand en cours de mandat il doit prendre une décision importante qui n’était pas dans son programme et qui engage à long terme l’avenir du Pays, là le recours au référendum est (selon moi) nécessaire. Si François Hollande avait organisé un référendum sur la déchéance de la nationalité, il aurait eu une majorité écrasante.

  5. A Edmond Romano et Alain Kerhervé….Le référendum pour des sujets extrêmement importants serait le bienvenu pour demander au peuple si ce que fais la gouvernement en place est efficace pour le plus grand nombre ,c’est à dire en cas de contestation profonde des performances de l’équipe au pouvoir. Mais comment imaginer qu’un Président en place (ils ne sont pas tous de la trempe du Gl de Gaulle) oserait s’en remettre à l’avis du peuple sur sa « gestion des affaires de la Nation » ?Alors chacun s’accommode et les déçus des résultats concrets pour le plus grand nombre dorment debout
    Car il est en effet (selon moi)qu’un Président élu au second tour de l’élection Présidentielle doive viser la satisfaction du plus grand nombre et pas seulement certaines « corporations » bienveillantes à son endroit !
    Si tel devrait être le cas, celles et ceux qui sont battus devraient démocratiquement accepter la sanction des urnes et dès lors ne plus tergiverser sur les éventuels programmes laissés à l’abandon par les candidats recalés . Certes un autre aspect de cette bonne gouvernance démocratique ,pour examiner la justesse de certaines propositions recalées susceptibles de ne pas être abandonnées et pouvant compléter le programme majoritaire mettre en oeuvre ne peut s’envisager (selon moi encore) qu’à l’issue d’une concertation éclairée que le gouvernement t nouvellement chargé des affaires doit initier, explorer et expliquer au peuple tout entier . Comme on est très loin de ces pratiques éclairées on dira comme Edmond Romano que le recours au Référendum dans le cas actuel d’une mandature courte (5 ans) s’apparente à de « la poudre aux yeux » voire de la démagogie de salon (ça c’est mon analyse).
    Mais le fond du problème reste bien que les protagonistes sont mal dans leurs baskets par ce que précisément leurs propositions ne sont pas orientées à satisfaire toute la Nation , et pas seulement les copains et les copines, d’où l’idée de se défausser sur le recours au peuple un peu à la Ponce Pilate pour se laver les mains de toute critique sur les résultats.

  6. Edmond Romano // 10 octobre 2016 à 11 h 47 min //

    réponse à jean: si l’on suit votre raisonnement ne devraient se présenter que des personnes assurées de leur élection c’est à dire personne puisque par définition un candidat n’est jamais certain de la victoire! Le premier tour de la Présidentielle sert à ce que chacun puisse faire entendre son programme et sa conception de l’avenir de la France. C’est en ce sens que je trouve que les Primaires de droite comme de Gauche ne sont pas dans l’esprit de nos Institutions puisqu’une prêt sélection est faite. Si l’on peut comprendre le souci des deux camps d’être présent au second tour puisqu’il semble que le FN soit assuré de l’être, j’eus largement préféré que l’on tente de contrer les idées de madame Le Pen plutôt que de se livrer à cet exercice purement stratégique que sont les Primaires.

  7. Edmond Romano // 10 octobre 2016 à 11 h 38 min //

    Le recours au Référendum est très gaulliste dans la démarche MAIS il faut être prêt à en tirer toutes les conséquences: 1) respecter le choix du Corps électoral et ne pas le détourner par une procédure parlementaire postérieure (comme ce fut le cas pour le traité de Lisbonne). 2) S’il s’agit d’une question de politique intérieure et que le Président de la République est à son initiative et qu’il est désavoué, il doit remettre son mandat entre les mains des électeurs. Sans cela, le recours au Référendum n’est que de la poudre aux yeux.

  8. Néanmoins, il faut tenir compte du fait que, au 2nd tour, le vote pour un des deux derniers candidats ne veut pas dire que TOUT son programme ait été validé par les urnes. A partir de là, il n’est pas inutile, pour des sujets extrêmement importants, de s’assurer de la majorité du peuple.

  9. Tous les protagonistes déclarés (sauf un à l’heure présente) de la future élection Présidentielle misent en chœur sur le Référendum comme arme destinée à redonner le pouvoir au peuple. Certains vont même jusqu’à imaginer recourir au Référendum hors cadre constitutionnel! Bof, tout cela est pathétique, car si un Président vient d’être élu c’est que par nature un certain nombre d’électeurs et d’électrices lui font confiance pour appliquer le programme promis , alors pourquoi recourir à une procédure électorale qui coûte très cher à organiser et dont l’histoire nous a appris qu’à deux exceptions près le résultat est NREGATIF pour celui qui a posé la question !
    Par ailleurs l’histoire nous a aussi appris qu’il n’y a pas de garantie pour que ce que souhaite le peuple soit appliqué (voir 2005 par ex). Bref tout cela relève de la pure démagogie de salon et atteste qu’aucun des protagonistes ne se sent à l’aise dans ses baskets pour tenir ses promesses !

  10. Pour juger NDA il faut lire ses textes ou écouter ses discours.
    Pour l’avoir écouté dimanche dernier, je puis affirmer que son discours était très gaulliste.
    Par ailleurs, pour ne prendre que cet exemple, il ne prône pas de sortir de l’Otan, mais de se libéré du Commandement intégré. Comme de Gaulle en 66.
    Quant au score annoncé par vous, nous verrons bien. Il appartient au peuple de France de le décider. Annoncer un faible score pour justifier votre position (NDA ne devrait pas se présenter) n’est pas très sérieux… ni tr-s démocratique.

  11. tout cela n’est qu’un débat stérile et donc inutile car DLF fera aux prochaines elections présidentielles qu’environ 2 %.
    Quant à NDA dit qu’il se voit au second tour, cela en dit long sur son inconscience qui lui fait perdre toute crédibilité

  12. NDA est il vraiment Gaulliste ou n’est ce simplement qu’une posture provisoire pour ratisser un peu plus large en 2017 ?. J’opte désormais pour la 2ème hypothèse et c’est pour cela que ma confiance en lui est sérieusement écornée.
    Sur l’Otan qu’il a déclaré vouloir quitter (sujet sensible en cette période extrèmement grave et préoccupante), il n’est pas clair ou se contredit, peut être parce qu’il sait que notre intégration désormais totale dans cette organisation parait irréversible, alors pourquoi nous faire croire qu’il nous la ferait quitter pour recouvrer notre indépendance nationale si chère au Général… et aux vrais Gaullistes ?
    Sur la politique internationale et la nouvelle guerre froide désormais actée qui risque de devenir très chaude dans un avenir proche, NDA reste muet parce qu’il a choisi de courir exclusivement après tous les sujets polémiques plus ou moins sérieux de politique intérieure qui lui permettent de s’indigner et cogner sur ses adversaires tout en promettant évidemment la lune + 5% …. son score prévisible. Tout cela est bien insuffisant pour prendre de la hauteur, se donner du crédit et acquérir ainsi l’envergure d’un présidentiable charismatique digne de ce nom. N’est pas authentique Gaulliste qui veut et encore moins de Gaulle !..
    Enfin, quel avenir NDA envisage t’il pour DLF après l’élection de 2017 avec un score de 5 voire 7% espéré ?, Un poste de ministre ou une alliance qui ferait de DLF un vrai parti capable de peser de manière durable sur l’échiquier politique ?, ceci à condition d’être beaucoup plus clair et lisible sans donner encore de faux espoirs.

  13. Arrêtez d’insulter les gens qui s’expriment sur ce blog. Vous avez droit de vous exprimer, mais respectez les autres. Dans le cas contraire, je ne publie pas vos commentaires. Soyez cool.

  14. Je vois surtout que vous êtes incapable de répondre à une question précise concernant le programme de NDA. Si la légalité d’un programme n’est pas assurée, votre posture est donc de ne pas en parler ! Pour faire tomber la fievre, vous jetez le thermomètre !
    Il y a quelque chose de trop facile dans votre attitude…, comme d’avoir supprimé le commentaire dans lequel je précisais le risque juridique d’un tel programme tout en approuvant l’ensemble des mesures de ce programme et d’avoir gardé celui que je vous demandais de supprimer. Vous ne manquez pas seulement d’arguments, vous manquez surtout de loyauté dans vos joutes politiques. C’est petit, minable !

  15. Ne voyez pas TOUJOURS dans ce que dit NDA des erreurs ou autres choses désagréables.

  16. Alain Kerhervé,

    Si la renégociation des traités n’est située qu’à la fin de de votre liste (point numéro 12…), est-ce à dire que ce qui précède serait appliqué dès l’éventuelle élection de NDA et dans la plus grande illégalité (non respect des traités internationaux…),… ou bien faudrait-il attendre la fin de la renégociation des traités pour commencer la mise en oeuvre du programme pour lequel il aura été élu ?

  17. Comme disait une chroniqueuse de France Inter. le maire de Hyères peut-il représenter le futur ?
    Au delà du jeu de mot facile la question reste posée de la qualité du mode de sélection des candidats à la fonction suprême !

  18. remarquable ! des témoignages transversaux qui confirment une importante similitude entre N D A et J L M
    des similitudes programmatiques (Keynes)et des différences somme toute mineures .
    Bravo !

  19. Il devrait plus s’inspirer de l’économiste Jacques Sapir auprès duquel il prend conseil pour mettre au tout premier plan la sortie de la zone euro et renégociation rapide de tous les traités européens fondée sur la primauté des lois votées par notre Parlement sur toutes les directives de l’UE. La sortie de l’euro doit être accompagnée d’une dévaluation de combat de 25% pour créer un choc de compétitivité stimulant notre économie plombée depuis tant d’années par une monnaie surévaluée, neutre pour les finances publiques, et d’une politique industrielle volontariste : nationalisation d’Alston et des Chantiers STX de Saint-Nazaire. La lutte contre l’impérialisme juridique, monétaire des US s’impose en renouant avec la Russie et la Chine puis tous les pays contestant cette hégémonie, l’Iran par exemple.

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