Les contre-vérités de l’écologie actuelle

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Les résultats des travaux du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) sont aujourd’hui très discutables et contestés sur le plan scientifique.

Ils annoncent :

  • Le réchauffement climatique. L’homme serait responsable de la montée du Co² dans l’atmosphère, par la production mondiale de gaz à effets de serre qui augmenteraient la température. En réalité les travaux scientifiques retenus par le GIEC ne disent pas la vérité. Ils montrent des graphiques avec une corrélation nette sur des centaines de milliers d’années, entre hausse du CO² et des températures, et en concluent que l’homme est responsable du réchauffement. Ces graphiques sont faux et mal interprétés.  En effet c’est loin d’être démontré. Ce n’est pas le CO² qui est responsable de la hausse de température du climat. Celle-ci vient de la terre et c’est la montée de la température qui provoque la hausse du CO².
  • La fonte des glaces dans l’Ouest de l’Antarctique et le Groenland provoqueraient une hausse très rapide du niveau des océans d’environ 6 mètres. Faux !  Rien n’est attendu avant au moins un millénaire. Et s’il y a une fonte au nord, le pôle sud voit ses glaces augmenter, donc la quantité globale des deux pôles est stable
  • La disparition du Gulf Stream est tout à fait improbable, même s’il diminue un peu.
  • Le réchauffement climatique serait responsable de la fonte des neiges sur certains hauts sommets de l’Himalaya et le Kilimandjaro. Ce phénomène ne peut pas être principalement attribué à l’effet des activités humaines sur le climat. En outre il y a eu des vérifications officielles du côté indien, et des protestations du gouvernement pour lequel il n’y a pas de fonte. Elles sont restées sans effet
  • Le réchauffement climatique serait à l’origine de certains ouragans. Encore moins démontré, bien d’autres causes interviennent

Or les mesures faites par des organismes indépendants de la montée des températures ne sont pas alarmistes du tout, relevés des balises maritimes et satellitaires à l’appui Le GIEC ne tient pas compte des grands cycles. Il faut donc se méfier des résultats pseudo scientifiques et faux qu’on délivre au public, dans les Grenelle de l’environnement, et Cop 21, sans compter les nombreuses réunions officielles et les rapports encore plus nombreux. Après la COP 21 un accord a minima a été obtenu, mais il y a eu de vifs applaudissements pour la « belle réussite du Président Fabius ». L’écologie est en pointe actuellement C’est devenu un problème politique, plutôt que scientifique. Aujourd’hui une véritable religion. On est prié de croire ce qu’on vous dit, même si ce n’est pas démontré, sinon on est excommunié. Il est évident que c’est difficile de dire le contraire comme on l’a entendu à la Réunion du CNR.

Le mouvement est parti des Etats-Unis d’Amérique. Le point de départ est la création du GIEC, en 1988 par deux institutions de l’ONU, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Al Gore, candidat démocrate malheureux à la présidentielle américaine de 2000, a été très tôt intéressé par les questions de Climat. C’est dans sa mouvance que deux scientifiques américains ont initié et travaillé le sujet du réchauffement climatique. Al gore a été convaincu que l’homme est à l’origine de l’émission de gaz à effets de serre, qui provoque un réchauffement climatique et une montée des eaux. Il est l’auteur d’un film sorti en France en 2006 « une vérité qui dérange » ou il présente sa conception de l’évolution du climat et conclut à une action rapide, sinon on va vers une catastrophe si on ne fait rien.

Le GIEC associe les politiques au processus d’élaboration des rapports d’évaluation, Al Gore est un milliardaire richissime, qui a une grande influence sur le GIEC. Il a reçu le prix Nobel de la paix en 2007 associé au GIEC. Il a fait don de son prix à cet organisme. Al Gore a créé également une fondation pour l’environnement, qui a reçu des donateurs privés plusieurs milliards de dollars dès sa création. Sa fondation et lui –même sont spécialisés aujourd’hui dans le négoce des droits d’émission de CO² (in Wikipédia)

Il est probable que l’on ait voulu faire de la lutte contre le réchauffement un grand dessein planétaire réenchantant le 21ème siècle, en suscitant des travaux, des participations, des grandes messes, et pour créer de multiples emplois, en inventant une industrie verte etc…mais au prix d’un discrédit qui ne tardera pas ?

Jacques Petroussenko

 

 

8 commentaires sur Les contre-vérités de l’écologie actuelle

  1. Delaisse Jean-Paul // 30 janvier 2016 à 18 h 08 min //

    @ BAERTJC : décidément, je ne vous connais pas, mais j’aimerais ! lorsque j’évoquai les bombes à raser…je penses que je n’était pas vraiment loin de votre opinion ! maintenant, essayons de transmettre l’idée : comment est-il possible de décider à notre infinitésimale échelle humaine que la planète se réchauffe, alors que nous ne sommes capables de mesurer, et ce conserver ces mesures depuis même pas une centaine d’années ? notre vieille terre date depuis ….plus longtemps que cela, et elle a traversé beaucoup d’ères chaudes – froides – glaciales – caniculaires et ce pendant des millénaires à chaque fois. Quelle arrogance des hommes..!..ou bien, effectivement, où diables sont « cachés » les intérêts…? Je me souvient d’une réflexion de 0livier de Kersauzon quand on lui avait posé la question de savoir ce que deviendrai la mer avec toutes ces pollutions (la citation n’est pas stricte, mais le sens, oui):  » ne vous préoccupez pas de la santé de la mer, elle fera le ménage toute seule, elle est plus forte que tout ! ». Tout est résumé là par ce véritable écologiste, indépendamment de ce que l’on pense de lui par ailleurs.

  2. Hélas,on n’en est plus à la contestation des approches scientifiques ou pseudo scientifiques sur les causes du réchauffement climatique.Nous sommes depuis la création du GIEC (fausse barbe des USA)entrés dans l’Intellignece économique.2 et nous sommes passés du sauvons la planète à sauvons l’économie américaine et de ses partenaires industriels et commerciaux voire sauvons la fameuse croissance!
    Des phénomènes au temps long sont rarement explicables avec une vision humaine du court terme pour pronostiquer l’avenir de la planète bleue !!!!!
    Par contre expliquer à court terme des phénomènes socio-économiques majeurs pour qui fuit le dogmatisme politicard,la naïveté ou la simple bétise humaine, devient frachement plus compréhensible.
    Nous sommes dans le temps court de la vie humaine et non dans le temps long de l’Univers.
    Patience dans 1 milliard d’années on y verra plus clair sur le bien fondé ou pas des certitudes affichées par GIEC et consorts.

  3. Le Rouméliote // 29 janvier 2016 à 19 h 52 min //

    Pour ceux que ça intéresse, deux sites scientifiques : pensee-unique.fr et skyfall.fr et deux titres (parmi beaucoup d’autres) : François Gervais, L’Innocence du carbone, Albin-Michel, 2013 et Marcel Leroux, La Dynamique du temps et du climat, Dunod, 2° éd. 2006. Le premier fait le point sur tous les aspects de question (scientifique, politique, économique…) et le second explique comment fonctionne l’atmosphère. F. Gervais est physicien, spécialiste de thermodynamique et M. Leroux était géographe, spécialiste en climatologie.
    Le GIEC n’a pas le monopole de la science, loin de là !

  4. radoxalement la FRance qui a longtemps cultivé sa force Démocratique // 27 janvier 2016 à 20 h 56 min //

    A Jean Paul DELAISSE….le coup de la mousse à raser me semble au ras des pâquerettes concernant le sujet concerné….mais j’accepte volontiers que l’on rase les pâquerettes pour en faire un argument de blaireau !!!!!!

  5. Delaisse Jean-Paul // 27 janvier 2016 à 14 h 37 min //

    Côté « business » américain, c’est bien ce que je dénonce avec les « bombes à raser » au CFC ! si la licence tombait dans le domaine public, adieu les royalties ! ne fallait-il pas trouver une bonne raison pour bloquer cela, et trouver un autre moyen de propulsion gazeuse comme monopole ? EUREKA : les trous de la couche d’ozone….!

  6. Sceptique ou pas sceptique sur les causes du réchauffement climatique passager constaté,ce sont bien les Américains qui font de ce sujet une intrusion d’Intelligence économique parmi toutes les nations de dupes que la France s’est ennorgueillie d’avoir à ses frais rassemblé lors de la COM21 tenue au Bourget en Dec 2015.
    Ne confondons donc pas BUT et MOYEN…le But n’est pas de lutter contre un éventuel réchauffement climatique planétaire (cela se verrait depuis que l’on s’y attarde) mais de créer du business profitable pour les entreprises américaines et leurs partenaires privilégiés.Le Moyen c’est de faire plancher le maximum de gens pour qu’ils mettent sur la table des tas d’infos stratégiques jusqu’alors rendues inaccessibles aux prospecteurs commerciaux « yankee » ,de faire éclore des tas de projets plus ou moins sérieux dans le secret espoir de faire du Fric avec le vent,l’eau et le soleil !
    Et tout le monde d’applaudir notre Super Fabius, grand maître de cette brillante confusion entre But et Moyen.

  7. Le projet lancé par Al Gore est du même tonneau que celui lancé par W. Bush concernant l’Initiative de Défense stratégique (ou guerre des étoiles). Obliger les puissances technologiquement avancées à mettre sur la table leurs connaissances….pour mieux en profiter !!!!!!
    Quoi que cette version réchauffement climatique s’accompagne aussi de la volonté d’identifier les puissances émergentes pour….en freiner le développement et ainsi prévenir l’arrivée de nouveaux concurrents.
    C’est aussi cela l’Intelligence économique !

  8. Delaisse Jean-Paul // 25 janvier 2016 à 15 h 11 min //

    Cartésien profond, je reste encore et toujours sceptique sur le fait que le réchauffement climatique est du à l’homme et ses excès. Soit, il y en a probablement une part. Mais, quels que soient les arguments, j’en retiens un de poids : toutes les mesures faites n’existent que depuis …..peu de temps, par rapport à l’existence de notre vieille terre. On ne peut donc établir de comparaison que par rapport au début de ces mesures, c’est à dire « pea nuts ». Pourquoi donc vouloir à toute force prétendre que ce changement est « uniquement » du aux activités humaines ?? Je pense que « el nino » se moque éperdument de la quantité de CO2 émise par un moteur à expolsion (diésel ou pas), le Gulf Stream également. Ce sont deux éléments naturels existants depuis de millions d’années. Par ailleurs, le très léger basculement des pôels n’a fait l’objet (à ma connaissance) d’aucune analyse sérieuse. Or, ce simple fait provoque dans l’atmosphère des modifications de remous ioniques et électriques dont personnes n’a soupçons. Cela n’aurait-il pas une incidence sur le mouvement des masses nuageuses, dont on sait qu’elles sont chargées élctriquement ? Je me souviendrait toujours deu fait suivant : « les CHC était utilisés dans les bombes à raser et autres) comme gaz propulseur. A l’approche de la fin de la licence d’exploitation, et donc que ces produits tombent dans le domaine public, quelques années avant, « quelqu’un » a « trouvé » que les CHC étaient à l’origine des trous de la couche d’ozone….il n’y aurait donc aucune raison économique…..? Sauf contradiction intéressante, je reste sur mes positions.

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