Evénements de Moirans : l’Etat ? Avis de recherche !

  • COMMUNIQUE  DE PRESSE de Jacques MYARD
    Député de la Nation, Maire de Maisons-Laffitte
    Président du Cercle Nation et République

 

Le 21 octobre 2015 – Evénements de Moirans : l’Etat ? Avis de recherche !

Les événements de Moirans comme le blocage de l’autoroute A1 ont suscité une nouvelle fois un appel à la fermeté du Premier ministre, du Ministre de l’intérieur et de la Garde des sceaux.

Mais leurs propos ne sont en réalité que verbiage et babillage car à l’évidence, les forces de police et de gendarmerie ont reçu l’ordre de ne pas intervenir lors de l’émeute et se sont bornées à filmer les scènes de violence afin de lancer après coup des poursuites pénales.

Cette attitude traduit une totale démission de la part du Gouvernement car une nouvelle fois, des groupes ou communautés imposent avec violence leur loi sur le terrain.

L’Etat se doit de réagir, après les sommations d’usage, même si l’utilisation de la force peut provoquer des victimes. C’est à ce prix que l’ordre public sera rétabli et qu’il sera mis fin à la multiplication de ces événements.

Si le Gouvernement s’y refuse par crainte et pusillanimité, il prend le risque majeur que les Français, lassés, se fassent justice eux-mêmes, ce qui sera la pire des solutions !

6 commentaires sur Evénements de Moirans : l’Etat ? Avis de recherche !

  1. Je passe votre commentaire, mais il ne veut rien dire…

  2. fremondiere // 27 octobre 2015 à 9 h 03 min //

    L.ETAT est corrompus ,plus de 50 politiciens , de tout bords ,ainsi que des présidents ,Maire ,on été condamner pars notre justice :Amende et prison avec sursis , BIG-Magouille , CAHUZAC ,le premier secrétaire PS ,et les autres;;la CHIENLIT est partout ,OU sont les responsables :certains devant les tribunaux ,d’autres , Président , premier Ministre voyages ,OUI. la très grande des quartiers sont tenu pars une seule communauté ,ou un nombres restreint , y sème la terreur, en vendant de la DROGUR; police gendarmerie pompiers , n » ose pas y rentrer ,ou est L.ETAT.. absente depuis plus de 40 ANS ,et cela continue

  3. j’ai pas lu, mais qu’est ce que cela vient faire là ! il y a tant de choses à dire de positif. Si la participation était appliquée à Maisons Laffitte comme ailleurs, cela ne se passerait pas comme cela.

    Pas de politique politicienne !

  4. DOS A DOS

    La violence aux multiples facettes devient la norme dans ce pays. Elle se banalise. L’indignation est épisodique. Puis peu à peu l’indifférence s’installe dans les esprits après le constat fait par l’opinion publique que finalement la puissance étatique est mise en échec face aux troubles divers à l’ordre public qu’elle ne parvient plus à maîtriser. Parfois même une passivité complaisante et coupable s’installe en dépit d’une entorse à la loi mais parce qu’il n’y a pas trouble à l’ordre public l’infraction n’est pas relevée et perdure. Le port du voile intégral en est un exemple.

    On se barricade. Les secours ne viendront pas. L’impuissance et la lâcheté des uns, la tyrannie des autres, voilà aujourd’hui le pain quotidien de beaucoup de nos concitoyens qui ne bénéficient pas comme les nantis d’une protection rapprochée d’une armée de voitures banalisées, de caméras de surveillance, de grilles de protection, de gardes du corps, de gilets par balles… On tue, on viole, on abat froidement à l’arme de guerre…en bandes organisées…des personnes innocentes et sans défense.

    L’Etat est dans un sale état. Il peine à assurer ses tâches régaliennes. Il n’est plus que l’ombre de lui-même. Il répond aux abonnés absents à tous les étages. Il est le déserteur, une nature morte. Mais cet état de fait ne date pas d’aujourd’hui. L’irresponsabilité a eu le temps de creuser sa tombe depuis des décennies. L’intérêt général importe peu. L’arrivisme et les avantages de la fonction habitent si intensivement nos candidats aux élections passées et prochaines, que les soucis ne leurs concitoyens sont le cadet de leurs soucis. Ils prospèrent sans le moindre scrupule sur les acquis d’une société saignée à blanc.

    IL reste bien sûr une armée de l’ombre qui ne désarme pas, toujours prête à se défendre avec d’autres par tous les moyens quand nécessité fait loi en cas de menaces graves et imminentes à l’intégrité physique, à relever les défis, à empêcher que la gangrène se propage.

    Les discours politiques ? Ils s’éteignent comme un écho qui s’éloigne, comme une onde sur l’eau, comme le hurlement d’une meute de loups un matin glacial d’une nuit de cristal, la lune étant le seul témoin oculaire des méfaits accomplis.
    Les responsables sont toujours les autres quand il s’agit de la course à l’échalote en prenant à témoin une opinion publique qu’on caresse dans le sens du poil pour bénéficier de l’immunité salvatrice des urnes pour stopper la machine judiciaire qui s’affole face à tant d’affaires judiciaires qui s’accumulent à l’encontre de certains futurs candidats aux élections futures et qui comptent sur l’amnésie générale pour faire oublier les affaires et un bilan désastreux.
    Ils continuent pourtant sans scrupule à jouer sur les apparences, à prétendre qu’ils sont capables de changer le plomb en or, à utiliser tout un arsenal de communication indécent et coûteux, qui n’apporte rien au bien être de la majorité de nos concitoyens, mais qui sert les intérêts d’une minorité agissante.

    Inutile alors de faire les offusqués. Nos maîtres à penser qui devraient être des exemples à suivre trouvent dans leurs rangs des élèves admirateurs prêts à suivre les mêmes défauts. Rien d’étonnant à ce que la décadence de notre société poursuive sa lente descente aux enfers.

    Quant aux délaissés de la société, il leur reste l’instinct de survie comme seule planche de salut qui renaît de ses cendres. Combien sont prêts à relever le gant si nécessaire dans une sorte d’état primitif lorsque la règle du plus fort devient la norme aussi bien dans l’espace public qu’au sein du pouvoir lorsque celui-ci veut à la fois contrôler les pouvoirs exécutif et judiciaire.

    De quel côté sont les voyous ? Où se cachent-ils ? A Moirans uniquement ? Voilà des boucs émissaires bien arrangeants pour dédouaner une classe politique française largement dévoyée. Se servir du prétexte d’une République en danger, d’une République exemplaire pour condamner les actions délictuelles ou criminelles des uns tout en cachant sous le tapis celles des autres, c’est une ficelle qui ne passe plus aux yeux de l’opinion.

    Les loups, ououh ! ououh ! Les loups sont entrés dans Moirans…Les loups ououh ! ououh ! Les loups regardent vers Paris !…

    René Floureux 23.10.2015

  5. Michel Chailloleau // 23 octobre 2015 à 11 h 42 min //

    Il faut aussi constater que lorsque il s’agit de roms ou de migrants, l’Etat ne réagit pas de la même manière pour faire appliquer la loi, et utilise plus rapidement des moyens plus forts!

  6. Delaisse Jean-Paul // 21 octobre 2015 à 18 h 15 min //

    Décidément, je suis réellement un vieux « schnock ». Je ne veux et ne cherche même pas à savoir le pourquoi de ces « événements ». Je ne veux pas que cela soit, car dès le moment où « la rue » impose ses volontiers à travers ce type d’action, il n’y a plus d' »Etat ».
    Le pourquoi doit se régler via la justice, à l’aide de la Loi. C’est ce que j’ai toujours fait, et c’est ce que j’ai toujours enseigné à mes filles. Manifestement, je suis « un vieux schnock » depuis ma jeunesse, puisque maintenant, cela se passe de façon tout à ait contraire. J’aurais du être anar, gauchiste, ou terroriste étant ado ! j’aurais encore maintenant le courage (faute de force physique) de descendre dans la rue ou bloquer les autoroutes pour faire valoir mes droits, ou simplement les droits de chaque citoyen ! Serais-je autant pardonné par nos très chers dirigeants , J’en doute fort, moi, affreux retraité nanti, ayant lâchement profité du système des 45, puis 40, puis 39 heures (en fait…toujours 50 ou 55 ou plus, plus le dimanche parfois, sans se plaindre, avec le gout du travail bien fait. Mais respectueux de la Loi, de l’Ordre, de la Force Publique, de mes concitoyens et de leurs droits, de l’Etat et de son Chef…
    De l’Etat et de son Chef, dis-je ?? Où sont-ils ?? «  »Encore faudrait-il qu’ils soient des chefs, et qu’il y ait un Etat » ».(C.D.G.)

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