« La Nation ou le chaos »


Sortie du nouvel ouvrage de Jacques Myard,  Député de la Nation, Maire de Maisons-Laffitte, et Président du Cercle Nation et République

 

 « La Nation ou le chaos »

 chez l’Harmattan

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livre2

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sur cette adresse mail : diffusion.harmattan@wanadoo.fr en précisant la référence ISBN : 978-2-343-04846-8

 

 

 

4 commentaires sur « La Nation ou le chaos »

  1. Edmond Romano, // 23 juin 2016 à 14 h 19 min //

    à Gaudin: « le Patriotisme est l’amour de son Pays, le nationalisme est la haine de celui des autres ».
    C’est en ce sens que je suis patriote et que je combattrai toujours le nationalisme.

  2. Je voudrais revenir sur le célèbre ouvrage d’Etienne de La Boétie  » Discours de la servitude volontaire » ( 1576); La Boétie nous explique que le pouvoir n’a pas besoin d’utiliser des hallebardes ; il lui suffit de distribuer des prébendes à quelques fidèles qui , eux-mêmes, en distribueront à des affidés; aujourd’hui la propagande intensive d’Etat (tout particulièrement la télévision) nous invite à remercier les dirigeants politiques et surtout à les réélire; d’aucuns parlent au sujet des attentats monstrueux de responsabilités criminelles( M de VILLIERS).

  3. à Gaudin : juste une précision, le référendum de 69 ne traitait par de la « participation », mais il est vrai aussi que le débat de campagne l’abordait

  4. Jacques Myard est nationaliste et à ce titre a mon soutien et mon amitié. La gauche, toute la gauche se proclame républicaine. Je ne suis pas gauchiste. Le Centre, UDI, Modem se revendique « républicain », Boutin aussi, une partie de l’UMP aussi, comme Marine Le Pen. Comment peut-on soutenir la république que tous ou presque partagent ?

    Quel parti va regrouper les nationalistes ? La frange de l’UMP que Jacques Myard représente. Nationalistes groupez-vous, regroupez-vous. Un rappel, De Gaulle a fait voter la participation en 1969…

    Dans son livre Enquête sur la loi du 3 janvier 1973, Pierre-Yves Rougeyron explique cette mécanique mortelle :
    En nous expropriant de notre banque centrale, le processus de 1973 a aussi influé sur notre dette. Comprenez que nous avons mis des siècles à la maîtriser, au sens où, grâce à la Banque de France, nous avons pu progressivement donner au peuple accès à sa propre dette. Autrement dit : rémunérer tous les Français qui prêtent à l’État en achetant un ou des milliers de bons du Trésor. Les intérêts reversés aux Français ont constitué les bas de laine pour les classes moyennes. Et justement, ce privilège (qui n’en est pas un) a été retiré aux Français qui ont désormais interdiction d’acheter leur dette auprès de l’État. C’est la conséquence la plus vicieuse, savamment calculée et appliquée, de la loi du 3 janvier et de ses descendants…
    Ce régime fut utilisé sous de Gaulle qui « commençait à inquiéter les banques », remarquait Henri Guillemin. La participation, inscrite au référendum de 1969, était un retour aux corporations, quand les ouvriers étaient propriétaires de leurs moyens de production et géraient leurs intérêts professionnels avant que la loi du 3 janvier 1973 (sous la présidence Pompidou, passé par la banque Rothschild) ne vienne définitivement briser la dynamique vertueuse.
    En clair, le système mis en place par Valéry Giscard d’Estaing a favorisé uniquement le système financier anglo-saxon qui payait ses achats en Europe avec une photocopieuse. 1
    Depuis, la France a récupéré un autre banquier de Rothschild, Emmanuel Macron, aujourd’hui ministre de l’Économie. Les victimes sont désignées, les crimes signés :
    Les quelques personnes qui comprennent ce système seront soit si intéressées par ses profits, soit si dépendantes de ses faveurs, que cette classe ne montrera aucune opposition, alors que la grande masse du peuple, intellectuellement incapable de comprendre les avantages que tire le capital du système, portera son fardeau sans se plaindre et peut-être même sans se douter que le système va à l’encontre de ses intérêts.
    Signé : Rothschild Frères (lettre envoyée en 1863 par le banquier londonien à ses confrères de Wall Street à New York, en soutien au projet de loi pour la création d’une banque centrale). 2
    1. Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 ↩

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