Congé maternité parental : une faute politique !
La France est le premier pays européen en ce qui concerne la natalité. C’est le résultat d’une politique de natalité menée depuis plusieurs décennies et notamment par les gouvernements du général de Gaulle. Le gouvernement socialiste Hollande-Valls envisage, dans le cadre de son plan d’austérité, et sous le faux prétexte de favoriser l’égalité homme-femme, de réduire le congé parental et la prime de naissance. Ce n’est pas une erreur, mais une faute politique impardonnable. Une occasion pour le nouveau Sénat de montrer sa détermination. 29 septembre : dernière minute. Le projet gouvernemental prévoit que la prime à la naissance sera divisée par 3 à partir du 2e enfant.
La France doit poursuivre sa politique de natalité
Alain Kerhervé
Source Reuters : Le gouvernement devrait proposer lundi de réduire de moitié la durée maximale du congé parental pour les femmes, dans le but de favoriser l’égalité dans ce domaine, écrit samedi le journal le Parisien.
Au lieu de trois ans actuellement, la période pendant laquelle une mère peut percevoir une allocation, allant jusqu’à 530 euros mensuels, serait abaissée à 18 mois au profit des pères, écrit le journal.
« Il s’agirait de couper la poire en deux en accordant un an et demi de congé à chacun des parents. Officiellement, au nom de la fameuse égalité hommes-femmes », écrit le Parisien.
« Officieusement, il y a des économies à la clé », ajoute-t-il, précisant que la décision qui doit être présentée lundi par les ministres concernés serait effective dès 2015.
Selon le Parisien, le gouvernement prévoit que les hommes seront moins nombreux à faire valoir ce droit, ce qui lui permettrait, selon une source proche du dossier, de dégager « entre 300 et 400 millions d’euros » annuels.
La prime de naissance de 930 euros pourrait également être réduite pour les familles les plus aisées à partir du deuxième enfant, ce qui représenterait environ 200 millions d’euros d’économies, souligne le Parisien.
Allocations et universalité . En situation , si ce n’ est de faillite , du moins de dettes universelles d’ une même nation , sans concepts politiques étroits et figés , dans la perspective ou réalité aussi d’ une autre approche ou compréhension . En situation de dette abyssale , l’ effort doit oui être « universel » . Et la belle idée du CNR ne s’ en trouvera pas , autres temps , falsifiée . Il ne s’ agit pas de faire payer « les riches » bêtement . La question de la famille ou de la natalité n’ est pas seulement de finances ou de programmation de l’ équilibre à venir des payeurs de retraites . La honte peut survenir aussi depuis des cris d’ orfraies . Que si la dette et les dettes existent , il faut oui que l’ effort universel par nous soit exemplaire . République et Partager , à chacun en conscience selon ses ressources et ses deniers . Il est même un peu attristant que l’ initiative ne soit pas venue des plus aisés , et pas seulement depuis le mode de pensée politique . Resituer comme repenser les allocations familiales oui . Repenser et resituer d’ autres prestation sociales oui aussi , et même des 100% ALD et autres remboursements , initiative en conscience du » j’ y ai droit mais je n’ en abuse pas et d’ autres en ont plus besoin que moi » , une sorte de téléthon jour après jour . Et dans une situation difficile savoir que pour s’ en sortir ensemble par en-haut il faut peut-être aussi savoir écouter ceux d’ en-bas respectueusement