De Gaulle, ma boussole, Quimperlé, ma passion

J’ai toujours pensé que l’expression écrite peut prendre deux aspects :
Le premier, lié essentiellement à l’actualité, permet au fil du temps, d’échanger, de réagir, de contredire, d’expliquer son point de vue. Il alimente le débat, essentiel pour garantir l’exercice normal de la démocratie. Le second est plus profond. L’écrit précède l’action. Ainsi, il détermine le champ dans lequel l’action doit se dérouler. Ainsi, il élabore le cadre dans lequel elle doit s’exercer. L’écrit préalable évite la dispersion, les dérapages et les chimères dérisoires.

 

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J’ai toujours pensé que l’expression écrite peut prendre deux aspects :

  • Le premier, lié essentiellement à l’actualité, permet au fil du temps, d’échanger, de réagir, de contredire, d’expliquer son point de vue. Il alimente le débat, essentiel pour garantir l’exercice normal de la démocratie.

  • Le second est plus profond. L’écrit précède l’action. Ainsi, il détermine le champ dans lequel l’action doit se dérouler. Ainsi, il élabore le cadre dans lequel elle doit s’exercer. L’écrit préalable évite la dispersion, les dérapages et les chimères dérisoires.

Je vous propose donc “De gaulle, ma boussole, Quimperlé, ma passion”

( cliquez sur la couverture du livre )

Alain Kerhervé

6 commentaires sur De Gaulle, ma boussole, Quimperlé, ma passion

  1. ledixjuin // 4 avril 2013 à 14 h 56 min //

    De Gaulle n’est pas ringard, c’est l’esprit de la France .Et la France va mal ,car pendant 5 ans les institutions ont été souillés ,sali , et elle est menacé par l’ attitude mafieuse de certains politiques.

  2. Le Rouméliote // 16 mars 2013 à 19 h 26 min //

    Moi aussi je suis, non pas gaulliste, mais « gaullien ». Placer un « -isme », marque de l’idéologie après « Gaulle » est un contresens. Par contre, s’inspirer de, appliquer, faire connaître et développer les principes exprimés et appliqués par le Général, me paraît être une évidence, laquelle a conduit toute ma vie professionnelle, intellectuelle et associative.
    L’oeuvre du Général est intemporelle à condition de ne pas en faire un système « a priori » sans tenir compte des circonstances et encore moins d’en faire un drapeau pour de quelconques « politichiens » européistes de droite ou de gauche ou adeptes du front dit national qui n’est qu’un ramassis de passéistes pétaino-OAS.

  3. Vous avez raison, sauf que personnellement je me considère comme gaulliste de conviction, y compris dans mes activités d’élu territorial quotidiennes

  4. dixhuitjuin // 16 mars 2013 à 15 h 03 min //

    De Gaulle est mort ,voilà 43 ans. Que reste t’il du Gaullisme? Il y en a tant qui se disent Gaulliste ,mais je crois s’est dans l’action et les convictions qui anime un homme politique qui démontre s’il est un Gaulliste ,le Gaullisme est un mode de vie .Et comme disait Yvonne De Gaulle ,beaucoup viendrons en se disant Gaulliste ,mais se sont des loup habillés avec un vêtement de brebis. Et ou sont -ils les Gaullistes ceux qui au fond de leurs cœur ce trouve la France et pas leurs portefeuilles????

  5. Bellenger Pierre // 16 mars 2013 à 12 h 10 min //

    Je suis heureux d’apprendre qu’il existe encore un Gaulliste de convictions.
    Ces convictions se définissent-elles ainsi : la Primauté de l’état, (dont le Droit Régalien de battre monnaie), et la Primauté de l’intérêt général sur les intérêts privés. Il serait bon d’y ajouter la phrase du Général : La politique de la France ne se fait pas à la corbeille.
    Est-il exact d’écrire que le Général a imposé, lors de le Lébération, que le pays retrouve ses intitutions d’avant la débâcle, c’est à dire : 1°) le système politique « Démocratie » y compris sa monnaie et le Droit régalien de battre monnaie, 2°) le système économique dit « du capitalisme amendé par Keynes » .
    Voici 15 ans que je suis devenu « Chercheur en Vie Sociétale ». Je serais donc devenu gaulliste en inventant de quoi charpenter plus solidement les principes du Général, à savoir :
    1°) la notion que la modernité exige que la Finance devienne un outil de fonctionnement du Politique (le mode de gouvernement) et de l’Economie (le mode de production des biens et des services).
    2°) La Charte éthique de la vie en société, dont les composantes et piliers sont Le Politique, l’Economie, et l’Ecologie, nouveau venu, dont le rôle est de dire ce qui est bon et mauvais pour que la planète puisse encore nous héberger quelques centaines de sciècles.
    3°) La notion philosophique de Dépassement de la loi de la sélection naturelle. Notre mutation homo sapiens a reçu la conscience d’être, et une intelligence supérieure, et elle arrive à un niveau de civilisation qui exige ce dépassement pour perdurer.

    Pierre.Bellenger@wanadoo.fr

  6. Monsieur,
    Votre site offre une contribution de qualité au débat politique national dont la qualité ne s’améliore pas. L’Etat est ce qu’il est c’est-à-dire pas grand chose mais pire la société poursuit sa lente dérive vers la désagrégation.
    Les collectivités locales n’ont pas réponse à tout; le maire adjoint que vous êtes le sait. Elles peuvent toutefois être des pôles auxquels s’arriment ceux qui ne veulent pas sombrer.
    Bien des questions sociales peuvent trouver des éléments locales alors que l’Etat vacille jusque dans ses missions régaliennes : Economie Sociale et Solidaire, intégration de populations venues d’ailleurs, développement de l’économie circulaire, transition énergétique, ancrage régionaux, coopération internationale décentralisée …. autant de questions auxquelles les collectivités locales peuvent apporter des réponses qui pour être partielles n’en sont pas moins efficaces, comme bien des exemples le montrent.
    Pourriez-vous me dire comment vous faire parvenir les programmes de formation d’élus que nous conduisons ?

    Bien cordialement
    Joël Broquet
    Président du Carrefour des Acteurs Sociaux
    Fondateur du Centre de Formation des Elus Locaux

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