« 50 ans après, le franco-allemand toujours à l’affiche ! »

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Lire aussi sur Gaullisme.fr : http://www.gaullisme.fr/2012/01/09/de-gaulle-adenauer-1963/

 

 

« 50 ans après, le franco-allemand toujours à l’affiche ! »

Mardi 15 janvier 2013 à 19h – Film – Die endlose Nacht

Will Tremper, Allemagne, 1963. 82min. VOSTF

Dans l’aéroport Tempelhol de Berlin, des intempéries bloquent la circulation aérienne. Les voyageurs patientent et des destins se croisent au cours de cette nuit sans fin…

Jeudi 17 janvier 2013 à 19h – Archives – Les relations franco-allemandes vues par les médias

Archives de l’INA commentées par Jérôme Vaillant, professeur de civilisation allemande contemporaine à l’Université de Lille 3 et rédacteur en chef de la revue « Allemagne d’aujourd’hui »

Vendredi 18 janvier 2013 à 19h – Documentaire – Reims, 8 juillet 1962 – Une journée particulière

En présence du réalisateur

Didier Deleskiewicz, France, 2012. 52 min

Il y a 50 ans, la réconciliation entre l’Allemagne et la France fut scellée par un acte symbolique dans la cathédrale de Reims où le Général de Gaulle reçu le Chancelier Konrad Adenauer.

Du jeudi 17 au dimanche 20 janvier 2013 – Emissions ludiques – Karambolage

Claire Doutriaux – ARTE

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A l’issue de la visite du musée, projection en continu de ce magazine qui jette un regard amusé sur la société de chaque côté du Rhin.

Projections gratuites à la Maison natale Charles de Gaulle

Sur réservation uniquement

reservation@charles-de-gaulle.org

03.28.38.12.05

1 commentaire sur « 50 ans après, le franco-allemand toujours à l’affiche ! »

  1. Dès enfant j’ai eu une ouverture européenne. Adulte je voulais une Europe des nations. J’ai eu la mondialisation en retour à laquelle l’industrie française ne pouvait se mesurer : nous fabriquions des produits pour nos nationaux aux revenus restreints, alors que l’Allemagne fabriquait des produits chers pour personnes aisées.

    L’Allemagne pouvait se battre, pas la France handicapée, sauf sur quelques produits de luxe. Les usines françaises ont été délocalisées. En plus des coûts de main d’oeuvre, nous avons des charges étatiques élevées qui augmentent le prix des produits fabriqués et achetés.

    Il faut sortir de l’Europe, conserver l’euro pour les échanges internationaux et avoir une monnaie interne pour les dépenses courantes, tant que nous ne serons pas compétitifs.

    L’état, l’Administration généreuse paierait des retraites de l’ordre de 700 euros aux étrangers de plus de 65 ans même non communautaires. Nous sommes fous !!! G.

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