Vous avez aimé le premier rapport Attali ?

 

b32feaf3099af3a3c0f6308aa281ed6a_2 Vous adorerez le second !

 Le second rapport Attali a au moins le mérite de la clarté : il va falloir que le peuple souffre pour réparer les erreurs de ses gouvernants depuis 30 ans et qu’il se saigne pour combler la faillite des banquiers.

En fait, le second rapport Attali, c’est toujours plus de sacrifices pour les classes populaires et les classes moyennes, et toujours moins d’efforts pour les privilégiés et les rentiers.

Dans un inventaire à la Prévert de mesures plus choquantes les unes que les autres, le rapport va même jusqu’à conseiller la mise en place d’une participation financière des malades en affections de longue durée (cancer, diabète, polyarthrite rhumatoïde, etc…). George Orwell l’aurait prédit qu’on ne l’aurait pas cru. Attali l’a fait.

Et tout cela, parce qu’assis sur son dogme européiste et mondialiste, Jacques Attali ne veut pas croire qu’une vraie croissance est possible pour peu que la France retrouve sa liberté monétaire (sortie de l’euro), sa liberté politique et le contrôle de ses frontières. Ainsi par exemple, l’abrogation d’une loi de 1973 qui empêche la France de se prêter à taux zéro nous permettrait d’investir dans les Universités, dans l’avenir et dans la recherche. Car seul un vrai redémarrage économique et la création d’un million d’emplois permettront à la France de s’en sortir.

Ce n’est certainement pas en faisant souffrir davantage les plus exposés que l’on sauvera la situation économique d’un pays à la démographie dynamique.

C’est pourquoi le rapport Attali mérite une vraie cure d’austérité, enfermé à double tour dans un placard de l’Elysée.

Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne,
président de Debout la République

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