Au dessus des partis politiques.

Une seule préoccupation : la France.

La politique est un noble combat. Mais il y a plusieurs manières de se comporter, de le mener, d’aboutir.

Si l’on interroge les Français sur leur regard du monde politique, une large majorité de nos concitoyens en a une opinion plutôt négative : carriéristes, intérêt personnel… Et ceci à tous les niveaux. C’est, pour le moins, injuste. A part quelques « moutons noirs » alimentant, au mieux, la presse people, au pire les chroniques judiciaires, les Français qui s’engagent dans la politique le font sincèrement pour la promotion d’idées politiques. C’est un combat noble. Il faut le respecter.

 

  • Qu’importe la façon.

Seul, sur internet, chacun peut apporter sa pierre au débat permanent ; regroupés aussi, au sein d’une structure formalisée, prenant la forme de club ou de mouvement politique.

Mais pour le gaulliste que je suis, à l’image de tous ceux qui se considèrent comme les héritiers du Général, le parti politique, se saurait être qu’un outil. Pas une finalité.

La culture partisane, le « tout pour le parti » est incompatible avec un comportement gaullien. Le « parti avant tout », s’il est la raison de militer de certains, socialistes, marxistes, et aussi UMPistes, ne saurait convenir aux gaullistes de conviction.

 

  • Ce qui compte, ce n’est pas l’étiquette, c’est la France.

Ce combat que nous livrons, nous le faisons sans autre moyen que notre implication. Il le faut pour proposer aux Français une autre vision de l’avenir de ce « cher et vieux pays » : institutions, partage des richesses, association du capital et du travail face à l’échec du « tout collectif » et du « tout libéral », indépendance nationale, construction européenne de type confédérale et non supranationale…

 

  • Comment y parvenir ?

Parmi les mouvements politiques se réclamant du gaullisme, « Debout la République » présidé par Nicolas Dupont-Aignan, député-maire de Yerres, propose un cadre où chacun peut s’exprimer et s’investir.

La dernière consultation est là pour l’attester. « Qu’importe le score !» clameront certains. « L’essentiel était d’être présent pour ce combat ». Pari réussi.

Maintenant il faut aller plus loin, et plus fort. Non pas pour le parti, mais pour nos idées, pour la France.

Combien de clubs, de groupes plus ou moins bien organisés, de mouvements politiques arborent fièrement, et à juste titre, l’étendard de l’Homme du 18 juin ?

Combien de jeunes voient, et à juste titre, en de Gaulle la seule référence historique, littéraire et politique digne d’être le vecteur pour que la France recouvre sa grandeur, sans laquelle elle n’est rien.

Mais tout ceci n’a de sens qu’avec l’espoir de triompher.

Il convient donc, sans aucun esprit partisan et sans exclusive, de fédérer toutes ces volontés, ces disponibilités, ces moyens, ces richesses. Chacun doit y trouver sa place.

Alain Kerhervé

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